Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 26 juin 2025


L'art. 1er de la Paix de St-Jacques, statue : "Que les profits de l'arène doivent suivre

Mais cela s'est-il jamais vu? Je ne sais. Je conclus: «Quel joli métier! et si facileCe n'est pas que le rôle de réactionnaire, ou de conservateur, ou de républicain de gouvernement, ou de radical simplement jacobin, n'ait aussi son charme et ses profits.

«J'aurai bientôt dit, reprit le Piccinino avec un malin sourire, lorsqu'il la vit enfin assise. Je fais mes affaires en faisant celles des autres, cela est vrai; mais chacun entend les profits de la vie comme il s'y sent porté par la circonstance. Avec certaines gens, il n'y a que de l'or

J'allais donc m'arranger une existence douce, de travail facile et de profits certains. Tout heureuse de ce changement, je me promis de corriger les fantaisies trop vives de mon caractère, de réprimer les élans fougueux de ma franchise, afin de rester longtemps, longtemps, dans cette place. En un clin d'oeil, mes idées noires disparurent et ma haine des bourgeois, comme par enchantement, s'envola.

Les légistes devaient haïr les Templiers comme moines; les dominicains les détestaient comme gens d'armes, comme moines mondains, qui réunissaient les profits de la sainteté et l'orgueil de la vie militaire.

«J'avaisme disait-il très-souvent, «une excellente tante, qui me recueillit dans sa maison après la mort de mon grand-père. Elle habitait une province du nord de la France. Son mari y jouissait d'une large aisance. Il associait au travail rural de ses champs les profits d'une hôtellerie de faubourg, que ma tante dirigeait,

Être transi de froid; dites, grelotter. Gringotter signifie fredonner mal un air; il signifioit autrefois frissonner. Griveliner. Jouer mesquinement, faire quelques petits profits illicites; dites, grimeliner ou griveler, d'où l'on a fait, griveleur, grivelerie. Grognon. Chagrin, fâcheux; dites, grogneur: c'est un grogneur. Groles. Dites, mauvais souliers. Groton.

L'aisance financière renaissait donc de toutes parts. Il n'y avait qu'une seule souffrance sensible, au milieu du bien-être général, c'était la souffrance de la propriété foncière. Au plus fort de nos troubles, les propriétaires de terres ou de maisons avaient eu l'avantage de ne pas payer l'impôt, grâce au retard dans la confection des rôles, ou de le payer presque avec rien grâce aux assignats. Aujourd'hui il en était autrement. Il fallait payer l'arriéré d'abord, puis le courant, et le tout en numéraire. Pour les petits propriétaires, la charge était lourde. On avait d'abord alloué 5 millions de non-valeurs au budget, dans l'intention de décharger les contribuables trop gênés; il fallut consacrer au même objet une somme bien supérieure. C'était une espèce de compte en profits et pertes, ouvert aux contribuables, par suite duquel on leur abandonnait le passé, afin d'en obtenir l'exact acquittement du présent. La propriété foncière ne peut pas suffire seule, dans un

Car un capital employé productivement est un des trois grands agents de la production, et prend part aux profits de cette production. Employer un capital dans la production, c'est avancer les frais de production. La valeur du produit qui en résulte rembourse cette avance. J.-B. SAY.

Les établissements de Syrie ne cessaient pas de rendre de grands profits, mais leur position commençait

Mot du Jour

l'égaierait

D'autres à la Recherche