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Mis à jour: 16 juillet 2025


LA BOURGEOISE. Jesu, mon amy, vous mocquez-vous? et vramment prisez moin vos pièces. LE BOUCHER. Madame, je ne sommes pas

«Alors, si vous êtes un jour assez heureux pour rencontrer Bel-Accueil dans un lieu sûr et bien reclus, quand même vous verriez Honte rougir, Peur blêmir, Danger frémir, et tous par feinte se courroucer pour se rendre lâchement, bravez leur colère, ne les prisez tous une écorce, mais cueillez la Rose de force, et montrez ce qu'un homme vaut, en temps et lieu, quand il le faut. Car rien ne leur plaît tant que de se laisser prendre ce qu'ils n'osent offrir. Ils seraient même froissés s'ils échappaient par leur défense, et tout en paraissant joyeux, ils vous haïraient intérieurement. Si pourtant vous les voyez sérieusement courroucés et vigoureusement lutter, soyez prudent, sachez attendre, criez merci, dissimulez, ouvertement capitulez, jusqu'

Quant Jeunesse tient gens en seigneurie, Les jeux d'amours sont grandement prisez; Mais Fortune qui m'a en sa baillie, Les a du tout de mon cueur deboutez; Et desormais, vous et moi excusez De tels esbatz serons legierement, Car faiz avons nos devoirs grandement Ou temps passé; vers Amours me tiens quicte, Je n'en vueil plus, mon cueur si s'en repent, Comme cellui qui en riens ne proufite.

Pour vous, lorsqu'il vous aura fait 8017 Si Beau-Semblant, comme il le sait, Quand aux gens plaire il se dispose, Lors vous devez cueillir la Rose. Alors si vous voyez Danger Vous courir sus, vous outrager, Si Peur et Honte se trémoussent, Et par faintise se courroucent, Et se défendent lâchement Pour se rendre en se défendant, Ce que bien sentirez vous-même: Si vous voyez trembler Peur blême, Honte rougir, Danger frémir, Ou tous trois se plaindre et gémir, Ne les prisez tous une écorce, Et cueillez la Rose de force, Et montrez ce qu'un homme vaut, En temps et lieu, lorsqu'il le faut. Car rien ne leur saurait tant plaire Que succomber en telle guerre. De force ils aiment

Ni Dieu, ni moi rien ne prisez. 9477 Voire la nuit, quand vous gisez Au lit près de moi toute nue, Point n'avez-vous de retenue. Car si je veux vous embrasser, Vous baiser et vous caresser, Et mes soulas avec vous prendre, Plus me voyez pressant et tendre, Plus mes ardeurs vous éteignez Et comme un diable rechignez, Ni vers moi, pour rien que je fasse, Ne voulez tourner votre face, Mais tant malade vous feignez, Tant soupirez, tant vous plaignez Et tant faites la langoureuse, Que l'âme en ai toute anxieuse Et que n'ose vous assaillir, Tellement j'ai peur de faillir. Et quand après dormir m'éveille, Lors me vient

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