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Mis à jour: 16 juin 2025
Ce que Dieu a fait, il l'imite, et, quand il a fait assez fidèlement le portrait d'un pré, d'une étable et de deux cochons, on dit qu'il a du génie. C'est un Poussin, un Claude Lorrain, un Ruysdaël. Pardonnez-moi, monsieur, de vous interrompre sans cesse. Vous disiez donc que vous vous étiez fait peintre de paysages? Oui, et j'eus le malheur de réussir.
Le soir, son père déchargea une voiture de foin qu'il ramenait du pré, et il l'appela pour venir entasser le fourrage. Il fallut bien qu'elle montât
Depuis la veille, Jean conduisait la faucheuse mécanique, dans les quelques arpents de pré qui dépendaient de la Borderie, au bord de l'Aigre. De l'aube
Plusieurs avaient connu, dans le bourg de Grand Pré La jeune Evangéline et le pieux curé. Quelles ne furent pas, sous le toit du vieux pâtre, De tous ces exilés réunis au même âtre La joie et la surprise, en serrant sur leur coeur, Ces amis d'autrefois que le même malheur Avait disséminés sur de lointaines plages!
Au son d'un bastouer cliquant D'une tresbelle chamberiere Sa voix singlant et decliquant Ainsy que une seraine clere En ung pré joingnant la riviere M'endormis si soudainement Que perdis propos et lumiere Et ne sçay que devins vraiement
Un jour, je vis accourir les enfants dans le pré où je mangeais paisiblement, tout près du château. Louis et Jacques jouaient auprès de moi, et s'amusaient
Boïeldieu, (rue): François-Adrien Boïeldieu, compositeur célèbre, auteur de la Dame Blanche, la Tante Aurore, le Calife de Bagdad, le Pré aux Clercs, etc. Né
Le pré est vénéneux mais joli en automne Les vaches y paissant Lentement s'empoisonnent Le colchique couleur de cerne et de lilas Y fleurit tes yeux sont comme cette fleur-la Violatres comme leur cerne et comme cet automne Et ma vie pour tes yeux lentement s'empoisonne
Une fois dans le pré, nous posâmes nos vestes pour ne pas les gâter, et les coups de poings et les coups de pieds commencèrent
Avec quelle docilité j'ai suivi, dans mon bois, l'enseignement de M. Gaston Pâris! Comme j'entrais volontiers avec lui dans l'âme de nos aïeux, dans leur foi robuste et simple, dans leur art tantôt grossier, tantôt subtil, presque toujours symétrique et régulier comme les jardins sans arbres des vieilles miniatures! Le malheur est que je dévorai en quelques heures un livre fait au contraire pour être longuement étudié, et dans lequel les notions sont puissamment condensées. C'est pourquoi je ressens une sorte de trouble et comme une hallucination. Il me semble que cette vieille France que je viens de traverser si vite, cette terre bien-aimée, avec ses forêts, ses champs, ses blanches églises, ses châteaux et ses villes, était petite comme le pré que je découvre l
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