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Mis à jour: 22 juillet 2025


Oh! les petits enfants, roses et blonds comme des Jésus de cire, qui vous grimpent sur les genoux, vous jettent au cou leurs bras potelés et remplissent de leur gentil ramage et de leur mouvement désordonné le logis dont ils sont comme les anges gardiens!...

Dame Flore frotte ses yeux gonflés Et rouges comme des cerises De ses jolis doigts potelés Et se glisse hors du lit en chemise. Passe son jupon vert. S'assied dans le fauteuil branlant Et laisse un brin nu de jambe

«Harassées de voluptés, les épouses s'endormaient sur sa vaste poitrine, d'où leurs seins potelés effaçaient l'onguent du sandal. «Laissait-il, dans un rêve, échapper le nom d'une rivale, celles qui étaient avec lui mouillaient de larmes le bord de la couverture et brisaient de dépit leurs bracelets

Il avait quatorze ans, soit cinq ans de plus que la petite Mortsel, un teint rosé de contadin, légèrement briqueté par places, des cheveux de filasse, de bonnes joues pleines, de grosses lèvres, de grands yeux bleuâtres, humides, ahuris et comme douillets, la physionomie débonnaire, des membres potelés, une carre robuste, l'encolure et les reins d'un goussaut, la démarche passive d'un athlète embarrassé de sa force.

Au milieu de cette famille de géants était venue au monde une petite créature, pleine de santé, mais toute mignonne; c'était le neuvième enfant de madame Piédeleu, Marguerite, qu'on appelait Margot. Sa tête ne venait pas au coude de ses frères, et, quand son père l'embrassait, il ne manquait jamais de l'enlever de terre et de la poser sur la table. La petite Margot n'avait pas seize ans; son nez retroussé, sa bouche bien fendue, bien garnie et toujours riante, son teint doré par le soleil, ses bras potelés, sa taille rondelette, lui donnaient l'air de la gaieté même; aussi faisait-elle la joie de la famille. Assise au milieu de ses frères, elle brillait et réjouissait la vue, comme un bluet dans un bouquet de blé. Je ne sais, ma foi, disait le bonhomme, comment ma femme s'y est prise pour me faire cet enfant-l

Peindre Anvers, sa vie propre, son Port, son fleuve, ses marins ses portefaix, ses plébéiennes luxuriantes, ses enfants incarnadins et potelés que Rubens, autrefois, avait jugés assez plastiques et assez appétissants pour en peupler ses paradis et ses olympes, peindre cette magnifique pousse humaine dans son mode, son costume, son ambiance, avec le scrupuleux et fervent souci de ses moeurs spéciales, sans négliger aucune des corrélations qui l'accentuent et la caractérisent, interpréter l'âme même de la cité rubénienne avec une sympathie poussée jusqu'

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