Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 11 mai 2025
«Deux républiques sont possibles: L'une abattra le drapeau tricolore sous le drapeau rouge, fera des gros sous avec la colonne, jettera bas la statue de Napoléon et dressera la statue de Marat; détruira l'institut, l'école polytechnique et la légion d'honneur; ajoutera
Les intendants forment, dans l'armée, une élite intellectuelle. Leur recrutement est très sévère. Le plus grand nombre est passé par l'Ecole polytechnique ou par l'Ecole d'état-major. Certains, et non les moins appréciés, sortent du corps même des officiers d'administration.
«La garde nationale, l'école Polytechnique, tout s'en est mêlé. Vous jugez dans quel état j'ai trouvé Mme de Chateaubriand. Les personnes qui, comme elle, ont vu le 10 août et le 2 septembre, sont restées sous l'impression de la terreur. Un régiment, le 5e de ligne, a déj
L'école polytechnique n'était qu'ébauchée; Monge fut chargé d'en rédiger l'organisation définitive, qui depuis a été sanctionnée par l'expérience. Cette école est devenue la plus célèbre du monde. Elle a fourni une foule d'officiers, de mécaniciens, de chimistes, qui ont recruté les corps savants de l'armée, ou qui, répandus dans les manufactures, ont porté si haut la perfection des arts, et donné
Il a exécuté, Dieu merci! des tours de force bien plus difficiles. Il est l'Encyclopédie vivante de la science scélérate. C'est le docteur, le grand docteur polytechnique du crime!
Son père, ivre de joie, parla incontinent de l'école polytechnique. Jacques grogna longtemps, finit par se soumettre, et parvint
L'Université impériale, avec les immenses établissements afférents aux six Facultés de droit, de médecine, des lettres, des sciences, d'agriculture et polytechnique, couvre la presque totalité de ce superbe enclos. Dans les environs, une foule d'écoles sont venues se grouper: lycée supérieur, écoles normales supérieures des garçons et des filles, arts et métiers, etc.
A la suite de cette insurrection, qui raffermit le gouvernement de juillet, Paris est mis en état de siége, l'école Polytechnique et <p.305> l'école d'Alfort licenciées, l'artillerie de la garde nationale dissoute, etc. Le préfet Gisquet fait arrêter dix huit cents personnes sur les plus minces soupçons, et il ordonne aux médecins de faire la déclaration des blessés qu'ils auront secourus. Trois journaux sont suspendus; deux conseils de guerre permanents jugent les prisonniers; une sorte de terreur règne dans toute la ville. Mais la bourgeoisie qui avait demandé d'abord des mesures sévères de répression, s'inquiète bientôt de ces rigueurs irritantes, et elle applaudit
Les routes sont très-bien soignées, et cependant, il n'y a ni école polytechnique, ni administration des ponts et chaussées. Les voies publiques sont animées par la circulation continuelle de voitures chamarrées de costumes alpestres d'une grande variété. Les habitants se marient toujours dans leur propre canton.
Elle est tumultueuse, cette foule; elle applaudit au passage les groupes, les journaux, les personnalités qui lui sont sympathiques: le général Saussier, l'école polytechnique, les bataillons scolaires, les étudiants, les proscrits, les alsaciens-lorrains.... Mais, quand le corbillard passe, tout se tait, les fronts se découvrent, il se fait un religieux silence, que rompt seulement le cri incrédule
Mot du Jour
D'autres à la Recherche