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Mis à jour: 13 juin 2025
Dire que nous avions dîné chez Sorieul, cela signifie que nous étions gris. Le Poittevin seul avait gardé sa raison, un peu noyée il est vrai, mais claire encore. Nous étions jeunes, en ce temps-l
Et, se précipitant sur une panoplie, il nous équipa, selon nos uniformes. J'eus une sorte de mousquet et un sabre; Le Poittevin, un gigantesque fusil
Alors Le Poittevin prononça gravement ces paroles: «Avons-nous bien le droit de tuer cet homme?» Sorieul, stupéfait, répondit: «Puisque nous l'avons condamné
Les avis étaient très partagés. Sorieul voulait enfumer le voleur, Le Poittevin parlait de le prendre par la famine. Je proposai de faire sauter le placard avec de la poudre. L'avis de Le Poittevin prévalut; et, pendant qu'il montait la garde avec son grand fusil, nous allâmes chercher le reste du punch et nos pipes, puis on s'installa devant la porte fermée, et on but au prisonnier.
On partait en bande avec un orgue de Barbarie dont jouait d'ordinaire le peintre Le Poittevin, coiffé d'un bonnet de coton. Deux hommes portaient des lanternes. Nous suivions en procession, riant et bavardant comme des folles.
Alors Sorieul, pénétré d'une ivresse solennelle, se tourna vers nous: «Maintenant nous allons juger ce misérable.» J'étais tellement gris que cette proposition me parut toute naturelle. Le Poittevin fut chargé de présenter la défense et moi de soutenir l'accusation. Il fut condamné
Le Poittevin, attendri, affirma qu'il devait être bien fatigué, cet homme. En effet, il avait l'air agonisant, ainsi ficelé, bâillonné, ligaturé sur sa planche. Je fus pris
Depuis vingt minutes au moins on fouillait tous les coins et recoins de l'atelier, sans succès, quand Le Poittevin eut l'idée d'ouvrir un immense placard. Il était sombre et profond, j'avançai mon bras qui tenait la lumière, et je reculai stupéfait; un homme était l
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