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Mis à jour: 16 juin 2025


«A gauche du tabernacle un Saint Joseph se tenait debout, le regard au ciel, les mains appuyées sur un établi de charpentier. La dernière colonne de droite laissait dépasser le poitrail et la tête d'un âne, l'âne paisible de l'

Je t'ai vu devant moi surgir. Tu étais beau. Le soleil au déclin, de la croupe aux sabots, T'empourprait tout entier de sa splendeur farouche. Ardent de ta vitesse et cabré de ta course, Tu dressais, sur le ciel derrière toi sanglant, Homme et cheval, le double effort de ton élan le poitrail de bête et la poitrine humaine Respiraient d'un seul souffle et d'une seule haleine. Alors, dans ce ciel rouge tu m'es apparu, Comme un fatal présage, ô Centaure, j'ai cru Voir monter tout

Les cavaliers avaient dépassé Couéron et atteint les hautes bruyères dans lesquelles leurs chevaux enfonçaient jusqu'au poitrail. Ils galopaient toujours cependant.

Le cheval vint donner du poitrail en plein dans les cornes. Il fut soulevé, enlevé, projeté avec une violence, une force irrésistibles.

Cette réplique me vaut de la dame-que-je-connais-un-peu un regard indigné. Elle caresse encore une fois, avant de s'éloigner, la tête ronde de Pati-Pati, et soupire: «Amour, vasur l'air de «pauvre martyr incompris...». Ma brabançonne lui dédie, en adieu, un coup d'oeil sentimental et oblique beaucoup de blanc, très peu de marron et s'occupe immédiatement, pour faire rire un inconnu qui l'admire, d'imiter l'aboiement du chien. Pour imiter l'aboiement du chien, Pati-Pati gonfle ses joues de poisson-lune, pousse ses yeux hors des orbites, élargit son poitrail en bouclier, et profère

77. Il revient; ni les dards, ni les lances ne peuvent l'arrêter, ni même les bonds impétueux des coursiers aux abois. Quoique l'homme l'attaque avec ses armes puissantes, les lances et la valeur sont vaines. Un cheval superbe, cadavre déchiré, est étendu sur l'arène; un autre, spectacle hideux! paraît ouvert, et son poitrail sanglant découvre les sources palpitantes de la vie; quoique blessé

Elle était sourde peut-être, car elle continua paisiblement sa route jusqu'au moment , heurtée par le poitrail du cheval lancé comme une locomotive, elle alla rouler dix pas plus loin, les jupes eu l'air, après trois culbutes sur la tête. Des voix criaient: «Arrêtez-leHector, éperdu, se cramponnait

Il parla ainsi, et le conducteur du char fouetta les chevaux aux beaux crins du côté des nefs creuses, et ils couraient avec ardeur, le poitrail écumant, soulevant la poussière et entraînant leur roi blessé, loin du combat. Et dès que Hektôr s'aperçut de la retraite d'Agamemnôn, il excita

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