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Mis à jour: 1 mai 2025


Le bouquet de jalousie.... Elles sont très nombreuses et de nuances aussi variées que des fleurs cueillies dans la campagne, les renoncules de ce fatal bouquet, ou, pour parler sans métaphores, il y a beaucoup de manières très différentes d'être jaloux. Aussi cette méditation porte-t-elle pour titre un pluriel et non pas un singulier. Il semble que les observateurs aient négligé de distinguer et de classer ces diverses jalousies. Le langage vulgaire, lui non plus, n'admet pas de distinction entre l'une et l'autre. «Il est jaloux....» dit une femme en parlant de son mari, de son amant ou de son ami; et puis, comme glapissait l'incomparable Paulin Ménier dans le Courrier de Lyon: «Enlevez, c'est pesé....» Examinons, pourtant, quelques cas au hasard, et voyons s'il n'y a pas jaloux et jaloux, comme il y a coquines et coquines.... Un jeune homme est l'amant d'une femme, mariée elle-même

«Ne fais pas attention au pluriel rimant avec un singulier; c'est une licence que la douceur de la température nous fait admettre.

Mais on dit que, d'une part, chacune des trois personnes est Dieu, essence divine; que, d'une autre part, aucune d'elles n'est l'une des deux autres, et l'on conclut qu'elles sont plusieurs dieux ou plusieurs essences divines. Il faut répondre en contestant ce passage du singulier au pluriel. Socrate est le frère d'un homme, Platon est le frère d'un autre; Socrate et Platon sont-ils frères? Deux hommes sont chacun une intelligence; l'intelligence est-elle donc plusieurs choses et non pas une chose? Chaque être a sa durée, ou dure son temps; y a-t-il donc des temps différents? Le temps n'est-il pas unique? Tous les membres d'un homme font un homme, de tous ces membres on peut dire: c'est un homme; coupez une main, l'homme reste, mais ne se double pas, il n'y a toujours qu'un homme. D'où vient donc que parce que chaque personne de la Trinité est Dieu, les trois personnes feraient trois dieux? Un homme qui sait trois arts est trois artistes, et non trois hommes. Tout dépend donc de l'idée qu'on se fait de la différence qui constitue chaque personne. Il est enseigné que c'est une différence de définition, non d'essence. L'honnête et l'utile ne sont pas la même chose, ils se définissent différemment, quoique l'honnête soit utile. L'orateur et le grammairien ne sont pas identiques, quoique la même essence soit le sujet du grammairien et de l'orateur. Ainsi le Père et le Fils sont différents avec la même substance; l'un n'est pas l'autre pour cela. Si l'on dit quelquefois le Père est le Fils, cela signifie que le Fils est Dieu comme le Père, tuais non qu'il soit par les propriétés le même que (idem quod) le Père. Sans doute il ne faut pas trop s'attacher aux termes; «encore faut-il que les termes soient catholiques.... On ne doit point forcer les expressions figuratives qui ne sont point prises dans le sens propre, ni les pousser au del

Ce pluriel parut si singulier

« Nous » avançons..., « nous » serons prêts le..., « nous » partirons le... Et de l'adjectif possessif au singulier: « Notre » ballon..., « notre » nacelle..., « notre » exploration... Et du pluriel donc! « Nos » préparatifs..., « nos » découvertes .., « nos » ascensions...

Des peuples agricoles de la Syrie. Des Ansârié. Le premier peuple agricole qu'il faut distinguer dans la Syrie du reste de ses habitants, est celui que l'on appelle dans le pays du nom pluriel d'Ansârié, rendu sur les cartes de Delisle par celui d'Ensyriens, et sur celles de d'Anville par celui de Nassaris.

Notre Juvénal Anglais a été préservé du contre-sens par sa connaissance de Pope: il conserve avec soin l'exact pluriel. De l

Il disait «nous» audacieusement, associant par ce pluriel sa personne

Vous avez un mot qui me fait peur dans votre prologue. Lequel? Le mot triomphaux. Et pourquoi vous fait-il peur? n'est-il pas le pluriel de triomphal, comme chevaux de cheval, originaux d'original, madrigaux de madrigal, municipaux de municipal? Oui, mais c'est un mot qu'on n'a pas l'habitude d'entendre.

Vient ensuite un chapitre sur les terminaisons. Il y a six pages de mots lapons et hongrois, qui n'ont pas du tout le même sens, mais qui, au dire de l'auteur, présentent des terminaisons semblables en as, es, is, os, etc. Ces pages sont précédées de quatorze lignes de texte dans lesquelles il prie le lecteur de remarquer les similitudes. On peut répondre que, si même les terminaisons se ressemblaient plus encore, il ne faudrait pas en tirer une conclusion, car des mots peuvent se terminer de la même manière dans deux langues sans que ces langues soient sœurs. Ce qui le prouve, c'est qu'entre la colonne laponne et la colonne hongroise se trouve une colonne de mots latins, qui donnent le sens des mots cités, et que parmi ces mots latins il y en a qui sont terminés en es, d'autres en is, lesquels font au pluriel es, c'est-

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