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Mis à jour: 21 octobre 2025


Il y a bien encore dans l'Albaycin d'anciens bains moresques, une piscine recouverte d'une voûte trouée de petits soupiraux étoilés, mais ils ne sont pas installés, et l'on n'y aurait que de l'eau froide.

C'est une parole de bon sens; mais philosophiquement la jambe de bois n'aurait pas plus de valeur qu'une béquille. Si un observateur d'un esprit vraiment scientifique était appel constater que la jambe coupée d'un homme s'est reconstituée subitement dans une piscine ou ailleurs, il ne dirait point: «Voil

Elle venait de découvrir dans le guide que les volets s'ouvraient et montraient une Piscine probatique. Aussitôt elle avisa de loin la vieille femme qui tenait la porte de l'église et lui demanda si l'on ne pouvait ouvrir les volets. La vieille qui n'entendait pas le français demeurait insensible.

Il est cependant imprudent de dire: «La mémoire est toujours inconsciente». La mémoire est la piscine secrète ,

Le souvenir qui me reste de toutes ces superbes villas, néanmoins, est loin de m'intéresser autant que celui de cette grande ruine qu'on appelle la villa Adriana. Malgré les énormes débris qui couvrent le terrain sur lequel était bâti ce vaste palais antique, on peut encore juger de sa beauté. Il avait trois milles de longueur; ses murs seuls attestent son ancienne magnificence, et l'on prend une idée des merveilles qu'on a pu en tirer, en voyant cette quantité de statues antiques qui ornent aujourd'hui la villa d'Este, le Capitole et plusieurs palais de Rome. «Adrien, dit M. de Lalande dans son Voyage d'Italie, avait imité dans son palais tout ce que l'antiquité avait eu de plus célèbre. On y trouvait un lycée, une académie, le portique, le temple de Thessalie, la piscine d'Athènes, etc., etc. On y avait construit un double portique très long et très élevé, qui garantissait du soleil

Berthaud se précipita. Il avait consulté le baron Suire, d'un mot rapide. Lui, au fond, en homme politique, désapprouvait le père Fourcade d'avoir tenté une pareille aventure. Seulement, il n'était plus possible de ne pas aller jusqu'au bout: la foule attendait, suppliait le ciel depuis le matin. Et la sagesse était d'en finir tout de suite, le plus respectueusement qu'on pourrait envers le mort. Aussi, plutôt que de le trop secouer pour le mettre nu, Berthaud pensait qu'il valait mieux le plonger tout habillé dans la piscine. Il serait toujours temps de le changer, s'il ressuscitait; et, dans le cas contraire, peu importait, mon Dieu! Vivement, il dit ces choses aux hospitaliers, il les aida

Ils venaient de me montrer leur vieille basilique des croisades, les aimables Pères de Sainte-Anne; ils m'avaient conduit dans leur jardin pour me faire voir une piscine récemment exhumée par leurs soins et qui paraît être le réservoir de Béthesda; ils m'avaient fait descendre dans leurs profonds souterrains, une tradition très vraisemblable place la maison de sainte Anne, mère de la Vierge Marie et il est avéré, dans tous les cas, que, bien avant le passage de sainte Hélène, les solitaires du Carmel, les chrétiens du Ier et du IIe siècle descendaient par un soupirail pour tenir leurs clandestines assemblées de prières.

Ces Trois Villes, ces trois actes d'un drame, dont les Cités sont les protagonistes, Lourdes, Rome, Paris, ont une intensité d'effet différente. Lourdes est l'œuvre maîtresse. L'observation s'y révèle aiguë, exacte. C'est la vérité surprise sortant de son puits ou plutôt de sa piscine. Les méticuleux détails de cette kermesse médico-religieuse sont rendus avec une netteté vigoureuse. Celui qui n'a pas visité Lourdes connaît cette bourgade, capitale de la superstition, comme s'il y était , ou comme s'il y tenait boutique, quand il a lu le livre de Zola. Le voyageur sincère, exempt de naïve crédulité, qui, au retour d'une excursion en cet étrange oratoire balnéaire, prend le volume, y retrouve ses impressions précisées; il lit le procès-verbal minutieux et impartial des faits qui se sont passés sous ses yeux, l'analyse de la tragi-comédie de la souffrance, avec l'espoir de la guérison surnaturelle,

Puis les Imperators, sous le Venasque chauve, Bâtirent la piscine et le therme romain, Et Fabia Festa, par ce même chemin, A cueilli pour les Dieux la verveine ou la mauve. Aujourd'hui, comme aux jours d'Iscitt et d'Ilixon, Les sources m'ont chanté leur divine chanson; Le soufre fume encore

Nous causâmes le plus tranquillement du monde. Je lui dis ce qu'était la Piscine probatique. Toutes ces dames poussaient de petits «ah

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calderon

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