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Mis à jour: 2 mai 2025
Tirab., t. III, p. 317 et suiv. Les choses restèrent en cet état jusque vers l'an 1135, mais alors, selon un grand nombre d'auteurs, la jurisprudence éprouva une révolution en Italie. Les Pisans, disent-ils , ayant, cette année-l
Malgré la sanglante querelle de Messine, on affectait de se croire encore en paix avec Pise. Mais une nouvelle occasion de jalousie était survenue. Bonifacio avait été rebâti par des Pisans, c'était la retraite et comme l'embuscade de leurs corsaires. De l
L'usage de charger ses ennemis de crimes odieux, même des plus invraisemblables, n'est pas né d'hier. Les Génois accusèrent les Pisans d'avoir traité secrètement avec la veuve du compétiteur de Henri. Enfin on se sépare de plus en plus aigris; les Génois reprennent la mer. Ils font lever le siège de Catane attaquée par la veuve de Tancrède. Ils s'emparent de Syracuse: tout se rend, excepté Palerme. Ils reviennent
La rivalité commerciale et politique armait partout les Pisans contre les Vénitiens. [Note 55: Dans un autre engagement: «Li Grieu lor tornèrent les dos, si furent desconfiz
Cependant une paix que les prisonniers pisans avaient trouvé le moyen de conclure après de longs traités, attendait depuis treize mois la ratification de leur république. Ugolin avait tout fait pour éviter cet accord qui, en ramenant tant de gibelins considérables, allait renverser son empire. Mais enfin il n'avait pu s'empêcher d'accéder
L'acquisition de Tyr eut d'autres conséquences; elle mit en contact, avec des droits semblables, les Vénitiens, les Génois et les Pisans, tandis que la concorde entre ces deux derniers peuples était mal affermie.
Mais les eaux de l'Arno ou les croupes des monts pisans en ont vu davantage, me direz-vous. Je vous répondrai que nous ne sommes jamais tentés d'interroger la nature brute sur les destinées humaines.
Bohémond attira quelquefois des vaisseaux de ses provinces des deux Siciles, mais il est rarement question de leur assistance. Au contraire, on trouve partout les Génois et les Pisans, souvent confondus par nos croisés, qui les voyaient paraître sans cesse, tantôt ensemble, tantôt les uns
Dans les premières tentatives faites par les Mores pour reprendre la Sardaigne, ils revinrent en Corse . Les Pisans qui les y poursuivirent leur ayant arraché cette conquête entreprirent de la retenir
Cette valeur et tous ces efforts produisirent peu de résultat. (p. 040) Toutes les nations de l'Europe étaient, nous l'avons dit, représentées au siége d'Acre, mais aussi toutes les haines nationales. Chacun combattait comme pour son compte, et tâchait de nuire aux autres, bien loin de les seconder; les Génois, les Pisans, les Vénitiens, rivaux de guerre et de commerce, se regardaient d'un oeil hostile. Les Templiers et les Hospitaliers avaient peine
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