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Mis à jour: 18 juin 2025


Après de nouveaux voyages je le perdis... madame. M. de Rochegune garda un moment le silence, baissa la tête, essuya furtivement une larme et reprit: En mourant, mon père me recommanda, au nom de l'amitié qui nous unissait

Je ne perdis pas une minute pour m'acquitter de mon message, qui causa d'abord un certain trouble parmi les gens de la pinasse; mais on ne tarda pas

Il y avait dans la manière dont elle prononça ces derniers mots tant de malin plaisir, et elle partit d'un éclat de rire si désagréable que j'en perdis le fil de mon discours. Miss Havisham m'évita la peine de le reprendre en me renvoyant. Quand Sarah, la femme

A table, il faut causer malgré soi... Vous fûtes ravis, l'un de l'autre, d'être Français... Bientôt, la chose devint grisante, irrémédiable, enchanteresse... Tu chancelas, tu perdis l'équilibre, tu ne vis plus rien... Elle te prit si bien que, la minute tu n'ignoras plus qu'elle niait ton Dieu, cela te parut presque naturel de lui pardonner la chose... Elle te ligota si bien que tu n'as plus bougé... Les battements de ton coeur furent les courroies dont elle se servit... Oui, mon fils, tu es devenu prisonnier, sans le savoir... Le jour tu sentis les fers au poignet, il était trop tard, tu étais enfermé

Vers dix-huit ans, rapporte le héros de cette histoire, je perdis mon père et ma mère

Alors tout l'amour du baron se reporta sur l'enfant de sa vieillesse; son affection pour moi n'était pas de la tendresse, c'était de l'idolâtrie. Trois ans après ma naissance, je perdis ma mère; certes, ce fut une nouvelle angoisse pour le baron; mais, trop jeune pour comprendre ce que j'avais perdu, je ne cessai pas de sourire, et mon sourire le consola de la mort de ma mère.

C'est le 16 février 1776 que j'entrai dans cette maison célèbre; c'est le 16 mars que je perdis mon père. Sa mort m'affligea profondément; je l'ai long-temps pleurée. Le dommage qu'elle apportait

Tu perdis alors le sentiment? Oui, tout

Je me trouvais dans la foule, assemblée autour de l'agent, qui sommait le marchand de circuler. L'encombrement était tel qu'il était impossible de bouger. Aussi fus-je témoin de la scène qui eut lieu alors. Et je puis affirmer que je n'en perdis pas un mot. J'ai parfaitement remarqué que l'agent s'était mépris: il n'avait pas été insulté! Le marchand n'avait pas poussé le cri que l'agent avait cru entendre. Mon observation fut corroborée par celle des personnes qui m'entouraient et qui furent unanimes

Il faut enfin parler des tristes années de ma vie dans un court espace de temps j'ai vu disparaître de ce monde les êtres qui m'étaient le plus cher. Je perdis M. Lebrun le premier; depuis bien long-temps, il est vrai, je n'avais plus aucune espèce de relations avec lui, mais je n'en fus pas moins douloureusement affectée de sa mort: on ne peut sans regrets se voir séparée pour toujours de celui auquel nous attachait un lien aussi intime que celui du mariage. Toutefois ce chagrin n'approcha pas de la douleur cruelle que me fit éprouver la mort de ma fille. Je m'étais hâtée de courir chez elle, dès que j'avais appris qu'elle était souffrante; mais la maladie marcha rapidement, et je ne saurais exprimer ce que je ressentis lorsque je perdis toute espérance de la sauver: lorsque j'allai la voir, pour le dernier jour, hélas! et que mes yeux se fixèrent sur ce joli visage totalement décomposé, je me trouvai mal; madame de Noisville, mon ancienne amie, qui m'avait accompagnée, parvint

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