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Mis à jour: 26 juin 2025


Tes dents mordent encore ta langue; Pour la dernière fois l'insolent a raillé, Et le glaive a tranché le fil de ta harangue! Sous le col d'un seul coup par Tizona taillé, D'épais et noirs caillots pendent

Tes cheveux sont comme des troupeaux de chèvres qui pendent du Galaad. 5. Tes dents sont comme un troupeau de brebis au sortir du lavoir, dont chacune

sont ces têtes que j'avais est le Dieu de ma jeunesse L'amour est devenu mauvais Qu'au brasier les flammes renaissent Mon âme au soleil se dévêt Dans la plaine ont poussé des flammes Nos coeurs pendent aux citronniers Les têtes coupées qui m'acclament Et les astres qui ont saigné Ne sont que des têtes de femmes

Maintenant l'été brille sur les pentes fleuries, Et joue sur les ruisselets de cristal; Venez, allons passer les jours clairs Sous les bouleaux d'Aberfeldy. Les petits oiselets chantent joyeusement, Tandis qu'au-dessus d'eux les noisetiers pendent, Ou ils volètent légèrement d'une aile folâtre, Dans les bouleaux d'Aberfeldy.

Mais, pendent ce temps-l

Vous vous trouvez alors dans une vaste rotonde, d'une élévation de près de vingt mètres, d'où pendent d'énormes stalactites; des masses de stalagmites correspondent aux cristallisations supérieures, et quelquefois les deux réunies semblent former

Lui-même, cuirassé, le casque ombragé d'une aigrette rouge, les jambes munies de grands jambards d'or, semblait un géant, nous dit le poëte . Deux épées pendent

Je la ferme avec bruit, m'assieds sur le couvercle et regarde les filets qui pendent aux murs, les lignes roulées sur leurs cadres de bois, les lampions qui servent

Loin de moi les festins au-dessus desquels pendent des épées de Damoclès! Je suis un rat des champs; je veux manger mes noix et mon lard assaisonnés par la sécurité.

Voyez comme les fleurs sont merveilleusement fécondes: elles jettent autour d'elles leurs graines comme une pluie; elles les abandonnent au vent comme une poussière, elles les envoient, ainsi que ces aumônes qui montent jusqu'aux noirs galetas, sur la cime des rocs désolés, entre les vieilles pierres des murailles fêlées, au milieu des ruines qui tombent et pendent, sans s'inquiéter si elles trouveront une pincée de terre qui les féconde, une goutte de pluie qui suce leur racine, et après un rayon pour les faire croître, un autre rayon pour les peindre. Les brises du printemps qui s'en va emportent les derniers parfums de la prairie; voil

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