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Mis à jour: 23 juin 2025
Nous nous arrêtâmes assez de temps pour faire cuire un peu de riz, que nous mangeâmes. Nous fîmes aussi rôtir un peu de cheval, pour manger au besoin; ensuite nous partîmes en nous promettant de ne point nous séparer, mais la grande cohue de traînards arriva, nous entraîna, et, malgré tous nos efforts, nous fûmes séparés, sans pouvoir nous rejoindre.
Quand il fut prêt, après avoir attaché les chiens qui nous auraient dérangés, nous partîmes.
Et nous dînâmes comme deux enfants retrouvés. Le lendemain, après notre déjeuner, nous partîmes chacun de notre côté. Arrivant
Certainement, répondit Saxon avec joie, nous ne pouvons rien faire de mieux. Aussi donc, agitant les rênes, nous partîmes, les fers des chevaux tirant des étincelles des pavés en silex, sur notre route.
Nous partîmes pour La Haye au commencement d'octobre 1791. Ma belle-sœur nous accompagna avec ses deux fils et leur gouverneur. Sa santé était bien mauvaise, et la consomption dont elle mourut l'année suivante avait déj
Nous partîmes pour la deuxième fois de Schœnbrunn. Arrivés dans la Confédération du Rhin, nous fûmes reçus comme dans notre patrie. En France, dans les grandes villes on venait au-devant de nous; nous étions reçus dans nos logements avec amitié. Aux portes de Paris, nous trouvâmes un peuple impossible
Nous partîmes enfin deux jours après et retournâmes
Le soir on nous pria d'une assemblée, où l'on nous traita plus favorablement encore; mais avec tout cela, ces belles ne purent obtenir de nous qu'une seule nuit; et le lendemain nous en partîmes, et traversâmes avec bien de la peine La vaste et pierreuse campagne, Couverte encor de ces cailloux Qu'un prince, revenant d'Espagne, Y fit pleuvoir dans son courroux.
Nous partîmes en canot et remontâmes vers l'ouest. Le désir de m'évader s'empara d'abord de moi. Mais j'étais surveillé de près, et je savais que toute tentative d'évasion serait, sans miséricorde, punie de mort, si elle avortait. Où aller, du reste, au milieu de ce désert sans limite? Que devenir? Périr de faim, ou être scalpé par les Indiens, ou dévoré par les bêtes fauves.
Nous nous levâmes de bonne heure; ma femme nous donna des provisions pour deux jours, et nous partîmes, la laissant, ainsi que Franz, sous la garde de Turc. Fritz et moi, nous étions montés sur l'âne; Jack et Ernest étaient aussi de compagnie sur le dos du buffle, que nous avions chargé en outre de nos provisions; et nos autres chiens nous accompagnaient.
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