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Mis à jour: 20 juin 2025
Vous qui n'avez point vu l'illustre Parthénice, Bois, fontaines, rochers, agréable séjour, Souffrez que jusqu'ici son beau nom retentisse, Et n'oubliez jamais sa gloire et mon amour. Lamartine, au même âge que Racine, et alors qu'il imitait Parny, faisait des vers de ce genre. Il aurait très bien pu écrire ceux-l
Ainsi que nous en étions convenus d'avance, M. de Parny me conduisit
Mon accent étranger, la vivacité de mon action oratoire, s'il m'est permis de parler ainsi, avaient quelque chose d'assez piquant pour M. de Parny: il m'écoutait attentivement et il applaudissait avec une politesse toute bienveillante
Parny dans ses poëmes, Andrieux dans ses contes, Chénier dans ses satires, reproduisent quelquefois la première jusqu'
Le tombeau de Ginguené, au jardin du père La Chaise, est placé près de ceux de Delille et de Parny; l'inscription qu'on y lit est celle qu'il avait composée lui-même et qui termine l'une de ses pièces de vers: Celui dont la cendre est ici, Ne sut, dans le cours de sa vie, Qu'aimer ses amis, sa patrie, Les arts, l'étude et sa Nancy . Prénom de madame Ginguené. HISTOIRE LITT
Cette piété fervente l'avait fait prendre en grippe par le plus mauvais sujet de la classe, fanfaron d'impiété et de libertinage, liseur et colporteur des livres de Parny et de Voltaire, et pourtant Breton comme Paul; mais entendons-nous, ce Breton-l
Le destin des combats Devait, après tant de gloire, Ce qu'aux Français naguère il ne refusait pas, Le bonheur de mourir dans un jour de victoire . M. de Parny. Mademoiselle Contat. Molé. Une répétition.
Il s'agit du jardin des Tuileries. Ces vers sont de 1813. Lamartine imite Gresset, Pezay, Dorat, Bertin, Parny. Il retarde notoirement sur Fontanes et Chênedollé. Entre 1812 et 1818, il écrit (ou ébauche) six tragédies: Saül, Médée, Zoraïde, Brunehaut, Mérovée, César ou la Veille de Pharsale. Il imite Voltaire et Alfieri; il retarde sur Népomucène Lemercier. Puis il entreprend un Clovis, épopée chrétienne en vingt chants. Il imite, de loin, Chateaubriand. Il imite aussi Chapelain et Desmarets de Saint-Sorlin. Mais,
L'Anthologie des poètes du XIXe siècle s'ouvre sur un poète du XVIIIe, André Chénier. M. André Lemoyne, dans la première des notices qui précèdent les morceaux choisis, s'est chargé de donner les raisons pour lesquelles le fils de la Grecque est représenté en tête d'un recueil réservé aux ouvrages d'un âge qu'il n'a point vu. La première raison est d'ordre chronologique. Les oeuvres d'André Chénier, dit M. André Lemoyne, sont posthumes et furent publiées dans notre siècle. En effet, Latouche en donna l'édition originale en 1819. Cette raison peut paraître suffisante. On se demandera seulement si, d'après le même principe, certaines poésies de Parny, de Ducis, de l'abbé Delille, du chevalier de Boufflers, etc., publiées postérieurement
Seize ans après le livre de Parny parurent deux nouvelles collections de pastiches: les charmantes Poésies de Clotilde de Surville, publiées par Ch. Vanderbourg, et les Poésies occitaniques de Fabre d’Olivet , livre moins connu que le précédent, mais également intéressant.
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