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Mis à jour: 7 juin 2025


Un coup de foudre me réveilla de ce lâche sommeil de ma volonté. Ma tante Louise fut frappée d'une attaque de paralysie. C'était vers la fin de cette morne année de 1878, au mois de décembre. J'étais rentré le soir, ou plutôt le matin, après avoir gagné au jeu quelques milliers de francs. Des lettres m'attendaient et une dépêche. Je déchirai l'enveloppe bleue en chantonnant un air

Et les deux médecins s'unirent en choeur pour dire: Première menace de la paralysie générale!!! Il faut renoncer au beau sexe!... Dételez, dételez vite.

Je me rappelle qu'au mois de juin 1888, au moment nous craignions pour lui une paralysie cérébrale je surpris notre Maîtresse en lui disant: «Je souffre beaucoup, ma Mère, mais je le sens, je puis souffrir davantage encoreJe ne pensais pas alors

Sa lèvre inférieure pendait, presque morte. La paralysie héréditaire le menaçait. Il dodelina de la tête, se laissa embrasser, et sa main, une main molle, d'un blanc de cire, caressa les cheveux des enfants. Tandis que Mme Rosin, avec un air distrait installait les arrivants, Toinette et son mari se regardaient, pleins de stupeur.

Un cri involontaire jaillit de la gorge de Félicité. Macquart!... Macquart! Il ne bougeait toujours pas. Son insensibilité devait être complète, l'ivresse l'avait jeté dans une sorte de coma, dans une paralysie absolue de la sensation; car il vivait, on voyait un souffle lent et égal soulever sa poitrine. Macquart!... Macquart!

«Dépêchons, dépêchons, monsieur», répétait Gilquin. Le notaire fit encore deux tours; et, brusquement, ses mains battirent l'air, il se laissa tomber dans un fauteuil, tordu, roidi par une attaque de paralysie. Sa femme pleurait

Est une des suites fréquentes de... l'accident dont il a été victime. Si nous le sauvons, la paralysie disparaîtra peu

Bientôt une crainte les prit. La paralysie gagnait peu

Quand les points d'occupation sont nombreux, on ne peut qu'être faible dans chacun, et dès lors il y a paralysie de toutes les forces.

Le naïb était un vieillard frappé de paralysie et de mérycisme, au point de ne pouvoir parler que difficilement; il vivait constamment étendu sur sa couche. Nous lui fîmes présent de quelques mètres de drap rouge, et après le café d'usage, nous nous retirâmes avec une impression défavorable. Aïdine Aga chercha

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