Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 19 mai 2025
[Note 479: Philippe II au cardinal Pacheco, 24 août dans Lettres de Catherine, t. II, p. 301-302, en note. Dans sa lettre du 6 juillet
Au premier rang des amateurs de son temps, Pacheco cite encore: «Notre duc de Alcala (don Fernando Enriquez de Ribera), vice-roi de Barcelone, qui a joint
Il eut pour marraine Doña Francesca Pacheco, marquise de Mondejar et pour parrain Don Juan de Ganelès, dont il prit le nom selon l'usage. La comtesse avait fait un projet. Elle voulait consulter un astrologue fameux qui lui avait été recommandé par Don Alonzo Levita. Les soucis qui l'avaient hantée dès les premiers jours de la conception de l'enfant ne s'étaient pas dissipés en effet.
La fortune des Portugais ne se démentit point. Pachéco, dans trois différens combats, coula
Plusieurs beaux esprits de la cour composèrent, en l'honneur de ce portrait, des pièces de vers dans lesquelles, tout en louant l'artiste, ils flattaient encore plus le monarque. Pacheco rapporte ceux de don Geronimo Gonzalès de Villanueva, poëte distingué de Séville, qui fit, dans cent vingt-deux vers ampoulés, l'éloge emphatique du roi, qu'il appelle: «Copia felix de Numa o de Trajano.»
Soarez et Pachéco remirent
Ce départ fut si prompt, que Velasquez n'eut pas le temps de terminer le portrait de Charles, qu'il avait commencé. Néanmoins, selon le témoignage de Pacheco , il reçut du prince cent écus pour cette ébauche. Devenu roi d'Angleterre quelques années après, Charles dut regretter de n'avoir point
Le prince Francisco de Borja y Esquillache, qui cultivait la poésie avec succès, comme Xauregui, n'était pas moins amateur des œuvres de la peinture, dont il possédait de remarquables spécimens. Le duc d'Alba se faisait également remarquer par le même goût; il en était ainsi d'un grand nombre de nobles qui avaient rapporté ce goût d'Italie, et parmi lesquels on doit citer, d'après Pacheco : don Francisco de Castro, ambassadeur d'Espagne, puis vice-roi de Sicile, qui offrit quatre mille ducats d'un tableau du Corrège au cardinal Sforza, sans pouvoir l'obtenir; le duc d'Ossuna, qui rapporta plus tard, en 1629,
Pacheco, qui vivait
Au demeurant, bien que censeur, pour le Saint-Office, des peintures des choses sacrées, Pacheco ne paraît avoir fait brûler aucun artiste, même en peinture. Fervent catholique, comme tout bon Espagnol du dix-septième siècle, sa verve pittoresque et les souvenirs de son séjour en Italie lui font mêler le sacré avec le profane.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche