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Mis à jour: 8 mai 2025
L'avant-dernière carte était insérée dans une enveloppe et ainsi conçue: Gustave Coupessay, directeur des Oratoriens de la rue de Monceau, envoie
Des oratoriens qui dirigeaient ce collége. Le collége de Juilly, où l'on ne recevait que des pensionnaires, se composait
Désireux d'entrer dans les ordres, il fit ses premières études aux Oratoriens d'Aix, avec le dessein de rester dans cette célèbre congrégation et de se vouer
Jean-Baptiste Canaveri, né en 1753, entra dans l'ordre des Oratoriens en 1771, devint évêque de Bielle en 1797, puis de Verceil en 1808. Il fut, peu après, nommé premier aumônier de madame Lætitia Bonaparte. Il mourut en 1818.
Les bons oratoriens ne s'étaient pas trompés sur la véritable vocation du jeune Buvat: la calligraphie était chez lui un art qui arrivait presque jusqu'au dessin. Au bout de six mois, comme le singe des Mille et une Nuits, il écrivait six sortes d'écritures, et imitait au trait toutes sortes de figures d'hommes, d'arbres et d'animaux. Au bout d'un an, il avait fait de tels progrès, qu'il demeura convaincu qu'il pouvait lancer son prospectus. Il y travailla pendant trois mois, jour et nuit, et pensa perdre la vue, mais il est juste de dire aussi qu'au bout de ce temps il avait accompli un chef-d'oeuvre: ce n'était pas une simple pancarte, c'était un véritable tableau représentant la Création du monde en pleins et en déliés, divisée
Jean-Baptiste de Gouey, comte de la Besnardière, né en 1765, était entré dans la congrégation des oratoriens sous l'ancien régime. En 1796 il entra au ministère des relations extérieures comme simple commis. Il devint en 1807, directeur de la première division politique, et garda ces importantes fonctions jusqu'en 1814. Il devint conseiller d'
Dès sa plus tendre jeunesse, le petit Buvat, qui avait une répugnance marquée pour toute espèce d'étude, manifesta une vocation toute particulière pour la calligraphie. Aussi arrivait-il chaque matin au collège des Oratoriens, où sa mère l'envoyait gratis, avec des thèmes et des versions fourmillant de fautes, mais écrits avec une netteté, une régularité, une propreté, qui faisaient plaisir
D'autres constructions attestent la prospérité de la ville et la sollicitude du gouvernement: c'est l'acqueduc d'Arcueil, qui amène les eaux de Rungis et alimente, presque toutes les fontaines de la rive gauche; c'est la fondation du Jardin des Plantes, la plantation du Cours-la-Reine, la reconstruction de l'église Saint-Roch, de l'église Saint-Eustache, du portail Saint-Gervais, etc. Les fondations religieuses devinrent si nombreuses qu'elles menacèrent de couvrir le quart de la ville: notre siècle, incrédule et positif, en a fait justice avec son dédain ordinaire pour le passé. Ainsi, les Minimes de la place Royale sont aujourd'hui une caserne; les Jacobins du faubourg Saint-Germain, le Musée d'artillerie; les Capucins de la rue Saint-Jacques, un hôpital; les Oratoriens du Père de Bérulle et les Filles de la Visitation de la mère de Chantal, deux temples protestants; les Filles de la Madeleine, une prison; les Filles de Sainte-
Après ceux qui firent leur devoir, mais bien au-dessus d'eux, nommons les volontaires, ceux que rien n'obligeait d'agir. Les Oratoriens, ennemis de la Bulle Unigenitus, étaient interdits par l'évêque que menaient les Jésuites. Non-seulement on ne les obligeait pas de confesser les mourants, mais on le leur défendait.
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