Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 23 juin 2025
Héloïse fit une pause et poussa un long soupir. Toutes les têtes se tournèrent de son côté. Elle portait dans ses bras, continua-t-elle, un petit enfant qui criait faiblement comme font les nouveau-nés. Un murmure courut dans l'atelier, et il y eut un moment de silence.
Docteur, encore un moment. Galien, qui vivait sous Marc-Aurèle, et qui, certes, n'était pas un homme ordinaire, bien qu'il crût aux songes, aux amulettes et aux maléfices, dit de ses préceptes sur les moyens de conserver les nouveau-nés: «C'est aux Grecs, aux Romains,
Et le procès-verbal décrit la cérémonie qui eut lieu en grande pompe. L'enfant catholique eut pour marraine Mme Dietrich de la religion réformée; [Note: Femme du maire de Strasbourg dans le salon duquel Rouget de Lisle chanta la Marseillaise.] l'enfant luthérien, Mme Mathieu, catholique, femme du procureur de la Commune. L'enfant catholique fut prénommé: Charles, Patrice, Fédéré, Prime, René, De La Plaine, Fortuné, l'enfant protestant: François, Frédéric, Fortuné, Civique. Quand les deux ministres, luthérien et catholique, eurent terminé chacun leur office et qu'ils se furent donné «le baiser de paix et de fraternité», au baptême religieux succéda le baptême civique proprement dit: «L'autel religieux fut enlevé. Les marraines portant les nouveau-nés vinrent occuper son emplacement. On déploya le drapeau de la fédération au-dessus de leurs têtes. Les autres drapeaux les entourèrent, ayant cependant le soin de ne pas les cacher aux regards de l'armée et du peuple. Les chefs et commandants particuliers s'approchèrent pour servir de témoins. Alors les parrains debout sur l'autel de la Parie prononcèrent
On entendait par la fenêtre ouverte glousser la poule jaune appelant ses nouveau-nés. Toine, qui suait d'émotion, d'angoisse, d'inquiétude, murmura: J'en ai encore un sous le bras gauche,
Semblablement, chez nous, de quelqu'un qui se couche tard, on pourrait dire: «Il est allé ramasser un charbon de Saint-Jean.» Le fait est que ces charbons passent en Bretagne pour avoir toutes sortes de propriétés merveilleuses. Il en suffit d'un recueilli dans les cendres du tantad et dévotement placé, au retour, dans un coin du foyer, pour préserver la maison de l'incendie et de la foudre. On dit encore qu'en balançant les nouveau-nés devant la flamme de trois tantads, on les garde
Aux nouvelles Shetlands du sud, dit Dumont d'Urville, les Anglais et Américains ont exterminé les phoques en quatre ans. Par une fureur aveugle, ils égorgeaient les nouveau-nés, tuaient les femelles pleines. Souvent, ils tuent pour la peau seule, et perdent des quantités énormes d'huile dont on eût profité.
Quant aux curés réfractaires, la persécution leur avait donné une sainteté véritable. Chaque paroisse cachait au moins un de ces proscrits. La nuit on leur conduisait, de plusieurs lieues, les enfants nouveau-nés et les malades, pour baptiser les uns et bénir les autres. Tout mariage qui n'eût pas été consacré par eux eût été réputé impur et presque nul. Ne pouvant pas officier de jour dans les églises qui leur étaient fermées, ils improvisaient des autels dans les bruyères, sur quelque pierre druidique, au fond des bois, sur des souches amoncelées, au bord des grèves, sur des rochers laissés
«Comme l'oiseau parmi les feuilles dont il aime l'ombre, étendu sur le nid de ses deux nouveau-nés pendant la nuit qui nous voile toute chose, pour jouir de la vue de ses chers petits, et pour chercher la nourriture dont il les embecque, soins qui lui font trouver douces les plus dures fatigues, devance l'heure matinale sur la plus haute branche nue et attend avec une ardente impatience le soleil, regardant fixement le côté où l'aube se lève...»
Que ce peuple meure sans secours? reprit Serge; que de grossières sages-femmes fassent périr les nouveau-nés? que les paysans croupissent dans l'ignorance et restent la proie du premier écrivain venu?» Et Serge Ivanitch lui posa le dilemme suivant: «Ou bien ton développement intellectuel est en défaut, ou bien c'est ton amour du repos, ta vanité, que sais-je? qui l'emporte.»
On voit par ce qui précède que les Huns exerçaient sur la tête de leurs enfants nouveau-nés deux espèces particulières de déformations. La première regardait la face. Au moyen de linges fortement serrés, ils obtenaient l'aplatissement du nez et la dilatation des pommettes des joues. La seconde s'appliquait au crâne, que l'on pétrissait en quelque sorte de manière
Mot du Jour
D'autres à la Recherche