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Mis à jour: 7 juin 2025


Tu les vois, ajouta le poëte, se colorer des feux de l'incendie éternel allumé dans leur sein. Parcourant ainsi les fossés profonds dont cette terre de douleur est entourée, nous parvînmes, après de longs détours, aux murailles de fer qui défendent la cité, et le nocher farouche nous dit: Descendez, voil

L'image de Burns n'est d'ailleurs pas très éloignée de la métaphore de Pétrarque: «De même que le nocher fatigué est contraint, par la fureur des vents,

Ulric, nul oeil des mers n'a mesuré l'abîme, Ni les hérons plongeurs, ni les vieux matelots. Le soleil vient briser ses rayons sur leur cime, Comme un soldat vaincu brise ses javelots.... C'est ainsi qu'un nocher, sur les flots écumeux, Prend l'oubli de la terre

L'aigle seul, assez fort pour lutter avec l'onde, Se précipite en bas du sommet du rocher; Il se rit de ta peur, il te brave, il te sonde, Il remonte, il descend comme un hardi nocher. Son aile intrépide Bat le roc humide, Se renverse, et ride Ton flot, qui s'enfuit; L'abîme répète Le cri qu'il te jette; Son duvet reflète L'éclair de son soleil, qu'il porte dans ta nuit!

Toi qui sais l'âme et ses orages, Comme un nocher son élément, Comme un oiseau sait les présages, Comme un pasteur des premiers âges Savait d'abord le firmament; Qui sais le bruit du lac tombe Une feuille échappée au bois, Les bruits d'abeille et de colombe, Et l'Océan avec sa trombe, Et le Ciel aux immenses voix;

Phlégias, Phlégias! tu te trompes cette fois, lui dit mon guide; nous serons avec toi, mais seulement pour le trajet du Styx. À ces mots, le nocher frémit et poussa des soupirs confus tel qu'un homme qui, trompé dans son attente, ouvre une bouche plaintive et s'abandonne aux regrets .

D'abord tu arriveras sur le bord d'un vaste et profond marais. Et comment le franchir? Un vieux nocher te passera dans une toute petite barque, moyennant deux oboles. Quel pouvoir ont partout les deux oboles !

Ainsi, par exemple, l'apostrophe de Sordello: Ahi serva Italia, di dolore ostello. Nave senza nocchiero in gran tempesta! Hélas serve Italie, asile de douleur, Nef sans nocher dans la grande tempête.

est encore monotone comme le chœur des dieux infernaux: «Malheureuse vas-tuIl se dit trois fois, d'abord sur la tonique, puis sur la dominante, et une dernière fois sur la tonique. Il est toujours précédé et suivi de trois sons de cors donnant la même note que la voix, mais d'un caractère mystérieux, rauque, caverneux. C'est la conque du vieux nocher du Styx, retentissant dans les profondeurs du Tartare. Les notes naturelles (dites ouvertes) du cor sont fort loin d'avoir cette sonorité bizarrement lugubre que Gluck rêvait pour l'appel de Caron, et si l'on s'avisait de laisser les cornistes exécuter tout simplement les notes écrites, on commettrait une grave erreur et une infidélité capitale. Gluck ne trouva pas tout d'abord cet étonnant effet d'orchestre. Dans l'Alceste italienne, il avait employé, pour représenter la conque de Caron, trois trombones avec les deux cors, et sur une note assez élevée (le au-dessus des portées, clef de fa). C'était trop sonore, c'était presque violent, c'était vulgaire. Pour la nouvelle version du même morceau, il changea le rhythme de ce lointain appel, et il supprima les trombones. Mais les deux cors

Le nocher peut mener sa nef Assurément par cette place Dans une tranquille bonace Sans redouter aucun méchef.

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