Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 12 juin 2025
DEPUIS 1807, l'intervalle entre le Rhin et le Niémen était franchi, et ces deux fleuves devenus rivaux. Par ses concessions
Hier, l'empereur Alexandre avait fait passer le Niémen
Balachof devait dire que les négociations pourraient s'ouvrir sur-le-champ, si Napoléon le désirait, mais sous la condition absolue, essentielle, «immuable», que l'armée française repasserait préalablement le Niémen: «Tant qu'un soldat resterait en armes sur le territoire russe, l'empereur Alexandre il en prenait l'engagement d'honneur ne prononcerait ni n'écouterait une parole de paix .»
Tilsitt, le 22 juin 1807. Quatre-vingt-deuxième bulletin de la grande armée. En conséquence de la proposition qui a été faite par le commandant de l'armée russe, un armistice a été conclu. L'armée française occupe tout le thalweg du Niémen, de sorte qu'il ne reste plus au roi de Prusse que la petite ville et le territoire de Mémel. Au camp de Tilsitt, le 22 juin 1807.
Un pont, jeté sur cette rivière, porta le maréchal Oudinot et le deuxième corps vers Keydani. Pendant ce temps le reste de l'armée passait encore le Niémen. Il lui fallut trois jours entiers. L'armée d'Italie ne le traversa que le 29, devant Pilony. L'armée du roi de Westphalie n'entra dans Grodno que le 30.
On s'approvisionna en marchant. Le pays étant fertile, chevaux, chariots, bestiaux, vivres de toute espèce, tout fut enlevé: on entraîna tout, ainsi que les habitans nécessaires pour conduire ces convois. Quelques jours après, au Niémen, l'embarras du passage, et la rapidité des premières marches de guerre firent abandonner tous les fruits de ce pillage avec autant d'indifférence qu'on avait mis de violence
Les mouvements des armées russe et française, pendant cette retraite de Moscou au Niémen, rappellent le jeu de colin-maillard lorsqu'on bande les yeux
L'empereur français jugea que cette position derrière le Niémen n'était ni offensive ni défensive, et que l'armée russe n'était guère mieux placée, pour opérer une retraite; que cette armée, ainsi répandue sur une ligne de soixante lieues, pouvait être surprise, dispersée, ce qui lui arriva; que bien plus, la gauche de Barclay et l'armée de Bagration tout entière, se trouvant
Pour dissiper certaines craintes, il promettait de conduire les opérations avec prudence et lenteur, de ne pas s'aventurer trop vite et trop loin. Au fond, sur la manière de conduire cette guerre, après qu'il l'aurait commencée par une soudaine irruption, il n'était pas fixé. Deux plans se disputaient sa pensée, et il les laissait alternativement paraître dans son langage. Il comptait fermement trouver la principale force militaire de la Russie en ligne derrière le Niémen, la disloquer du premier coup et la saccager. Ce résultat obtenu, que ferait-il si les Russes prolongeaient leur résistance? Après les avoir refoulés au del
Le Niémen, vis-
Mot du Jour
D'autres à la Recherche