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Mis à jour: 8 juin 2025
Ah! chère maîtresse, dit Nedjeb, si le seigneur Kéraban pouvait seulement se casser une jambe ou deux avant de sortir d'ici! Voulez-vous que je m'occupe de cela?» Mais Ahmet ordonna
Le seigneur Kéraban prit la jeune fille entre ses bras, tandis que l'un des gardiens du phare soulevait Nedjeb. Ahmet était revenu
Sans doute! sans doute! répondit Nedjeb. Oui! j'ai déj
Le guide et Bruno entrèrent dans la caverne, emportant les couvertures de voyage, les manteaux, les cafetans, qui devaient servir de literie. Amasia, Nedjeb et leurs compagnons ne s'étaient point montrés difficiles sur la question du souper: la question du coucher devait les trouver aussi accommodants, sans doute.
Et on arrête des voleurs, oui! des voleurs, qui n'ont jamais fait pis! s'écria Nedjeb, en frappant du pied. Que voulez-vous? reprit Ahmet. J'essayerai encore d'attendrir mon oncle Kéraban. Si demain il n'a pas répondu
Je vous suis, chère maîtresse, répondit Nedjeb, mais je sais bien de qui nous serons
Il le ferait! répondit Amasia d'un ton de conviction profonde. Mais parlons d'Ahmet, Nedjeb, et ne parlons que de lui!» En ce moment, Yarhud venait de quitter son canot, et, sans être vu, il s'avançait vers les deux jeunes filles. Au bruit de ses pas, toutes deux se retournèrent. Leur surprise, mêlée d'un peu de crainte, fut grande en l'apercevant près d'elles. Nedjeb s'était relevée la première.
Il ne nous en faut pas tant! répondit la jeune fille. Oui! ... oui! ... chère maîtresse! s'écria Nedjeb. Et si je le veux, moi! ... si je le veux! ... ajouta le seigneur Kéraban. Est-ce que ma petite Amasia voudrait me contrarier? Oh! seigneur Kéraban! Eh bien, reprit l'oncle en levant son verre, au bonheur de ces jeunes gens qui méritent si bien d'être heureux!
Puisqu'il vous montre de si belles étoffes, et puisque sa tartane en apporte de plus belles encore, nous irons visiter sa tartane. Oui! oui! s'écria Nedjeb, qui ne tenait plus en place et courait déj
Aussitôt les diverses portes s'ouvraient de toutes parts. Des voyageurs sortaient de leurs chambres. Amasia et Nedjeb reparaissaient au bruit. Bruno et Nizib rentraient par la gauche. Puis, au milieu de cette demi-obscurité, on voyait se dessiner la silhouette du farouche Yanar.
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