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Mis à jour: 3 juin 2025


Le premier article de quelque étendue par lequel il débuta véritablement dans les lettres est celui de Gabriel Naudé, qui parut dans la Revue des Deux Mondes le 15 août 1836. Il ne faisait l

Naudé n'en demandait pas tant aux souverains de son temps, et, dans cette chambre close du cardinal de Bagni, il n'est plus que de la religion de Louis XI, de Philippe de Macédoine, ou du vieil et perfide Ulysse; il cite

Naudé n'estime les bibliothèques dressées qu'en considération du service et de l'utilité que l'on en peut recevoir. Concevant cette utilité dans le sens le plus large et le plus philosophique, il propose le plan d'une bibliothèque universelle, encyclopédique, qui comprenne toutes les branches de la connaissance et de la curiosité humaines, et dans laquelle toutes sortes de livres sans exclusion soient recueillis et classés. De plus, il la veut publique moyennant de certaines précautions, et il sait intéresser

[Note 236: Parmi les ruses les plus permises, il faut mettre celle que raconte Rossi dans la lettre il parle des acquisitions de Naudé

Les savants et les gens de lettres étaient représentés par Gabriel Naudé, d'abord secrétaire du cardinal de Bagni, et, ensuite, pendant très-peu de temps, du cardinal Francesco Barberini; par Jean-Jacques Boucard, l'ami, le correspondant de Peiresc, dont il prononça l'oraison funèbre en latin devant l'académie des Lincei, le 21 décembre 1637; enfin, par Dufresnoy, peintre médiocre, mais poète latin distingué, qui, pendant son long séjour en Italie, s'inspira de la vue des chefs-d'oeuvre des plus grands maîtres, pour composer son poëme de la Peinture. Il était très-lié, depuis sa jeunesse, avec Pierre Mignard, qui,

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