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Mis à jour: 28 octobre 2025
»Ce que nous ne pouvons faire tout seuls, nous le ferons avec les nationalistes de toutes nuances. Avec eux nous étranglerons la gueuse. Et tout d'abord il faut travailler les élections municipales.»
Il la lui résuma et en récita les passages qu'il savait par coeur. D'abord nous promettons l'apaisement. Brécé et les nationalistes purs n'ont pas assez insisté sur l'apaisement. Ensuite nous flétrissons le parti sans nom. Elle demanda: Qu'est-ce que c'est que le parti sans nom?
Mme de Villeparisis regretta qu'il eût dit cela aussi tout haut, mais n'y attacha pas grande importance quand elle vit que l'archiviste, dont les opinions nationalistes la tenaient pour ainsi dire
Au scrutin du 28 janvier, la liste des nationalistes: comte de Brécé; colonel Despautères; Lerond, ancien magistrat; Lafolie, boucher, obtint cent voix en moyenne.
On regrettait aussi que le défunt, officier de la Légion d'honneur, eût ordonné que les honneurs militaires ne lui fussent point rendus. L'état des esprits, enflammés par les journaux nationalistes, était tel qu'on se plaignait ouvertement dans la foule de ne pas voir les soldats. Le général Cartier de Chalmot, venu en civil, fut salué avec un profond respect par la députation des avocats. Des magistrats en grand nombre et des ecclésiastiques se pressaient devant la maison mortuaire. Et quand, au son des cloches, précédé par la croix et par les chants liturgiques, le corbillard s'avança lentement vers la cathédrale, entre les coiffes blanches de douze religieuses, suivi par les garçons et les filles des écoles congréganistes, dont la file grise et noire s'allongeait
C'est bien cela, tu as voulu me faire chanter, tu as pris toutes tes précautions d'avance. C'est bien ce qu'on dit: Marsantes, Mater Semita, ça sent la race, répondit Rachel répétant une étymologie qui reposait sur un grossier contresens car Semita signifie «sente» et non «Sémite», mais que les nationalistes appliquaient
Le salon de madame de Bonmont était singulièrement animé et brillant depuis la victoire des nationalistes
Ce n'était pas un innocent. Il avait le sens de ses intérêts et de la petite politique. Voyant depuis deux ans son quartier submergé par les journaux nationalistes, par les affiches nationalistes, par les brochures nationalistes, il s'était dit que, le moment venu, il saurait bien, lui aussi, faire le nationaliste, et qu'il n'était pas bien difficile de flétrir les traîtres et d'acclamer l'armée nationale. Il n'avait pas assez redouté ses adversaires, estimant qu'il pourrait toujours dire comme eux. En quoi il s'était trompé. Joseph Lacrisse avait, pour exprimer la pensée nationaliste, un tour inimitable. Il avait trouvé notamment une phrase dont il faisait un fréquent usage, et qui semblait toujours belle et toujours nouvelle, celle-ci: «Citoyens, levons-nous tous pour défendre notre admirable armée contre une poignée de sans-patrie qui ont juré de la détruire.» C'était exactement ce qu'il fallait dire aux électeurs des Grandes-
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