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Mis à jour: 28 mai 2025


Les recherches concernant l'usurpation des titres de noblesse pour s'exempter de la taille, n'éprouvèrent pas, il est vrai, les mêmes obstacles que la vérification des dettes, mais elles n'en causèrent pas moins, parmi ceux qu'elles atteignirent, la plus vive agitation. Il est inutile d'insister sur la nature des conséquences qui résultaient de ces usurpations souvent réprimées et toujours renaissantes, grâce au trafic honteux que les rois faisaient des titres de noblesse, dans leurs fréquents besoins d'argent. Et comme si, dans ce trafic, tout devait être matière

Comme la chambre de la Reine était la plus grande, on s'y réunissait toute la journée, et le Roi lui-même y descendait dès le matin. Leurs Majestés n'éprouvèrent pas même la consolation d'y être seules avec leur famille; un commissaire de la Commune, que l'on changeait d'heure en heure, était toujours dans la chambre elles se tenaient. La famille royale leur parlait

Les enfants connaissaient peu Levine, et ne se rappelaient pas bien quand ils l'avaient vu, mais ils n'éprouvèrent envers lui aucune timidité. Les enfants sont souvent grondés pour n'être pas aimables avec les grandes personnes; c'est que l'enfant le plus borné n'est jamais dupe d'une hypocrisie qui échappe parfois

Le 1er octobre, les deux redoutes auxquelles les Américains travaillaient n'étant point encore finies, les ennemis ne cessèrent de les canonner. Ils ne tuèrent que deux hommes et ne purent interrompre le travail, qui ne fut achevé que le 5. Les Américains n'éprouvèrent plus que des pertes insignifiantes, le feu des ennemis s'étant très-ralenti pendant les deux derniers jours.

Cependant ses deux compagnons tenaient son silence pour une cruelle injure. Brotteaux, qui était sociable, essaya de satisfaire leur curiosité; mais, quand ils apprirent qu'il était ce que l'on appelait "un politique", un de ceux dont le crime léger était de parole ou de pensée, ils n'éprouvèrent pour lui ni estime ni sympathie. Les faits reprochés

Les Universités, théâtres bruyants et souvent orageux, des combats et des triomphes scholastiques, n'éprouvèrent pas, dans le cours de cette période, les mêmes vicissitudes que dans les précédentes, excepté peut-être celle de Bologne ; vers le commencement du siècle, elle joignit aux autres facultés, des chaires d'éloquence grecque et latine, et eut pour professeurs Guarino de Vérone, Jean Aurispa, et Filelfo. Elle parut alors reprendre son ancien éclat, mais des troubles s'élevèrent. Bologne secoua le joug des papes et le reprit ; l'Université se dépeupla, et quand la paix fut rétablie, l'auteur d'une chronique du temps crut annoncer de belles espérances, en disant que le nombre des écoliers s'élèverait bientôt

Les Universités de Milan, de Pavie, et de Ferrare, prospérèrent constamment sous la domination des Sforce et des princes de la maison d'Este. Celles de Naples, de Rome, de Pérouse, n'éprouvèrent rien de remarquable pendant ce siècle. On distingue entre celles qui prirent alors naissance, l'Université de Turin, fondée, en 1405, par Louis de Savoye, qui n'avait alors que le titre de prince d'Achaïe . Amédée VIII, son successeur et premier duc de Savoye, en confirma et en augmenta les priviléges. Elle attira dès-lors un grand concours, et fit tomber celle de Verceil, qui existait depuis le treizième siècle. Elle n'eut point d'autre ennemie que la peste qui la chassa plusieurs fois

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