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Avait-elle découvert quelque signe de cette maladie, qu'une si affreuse catastrophe a révélée au monde, et voulait-elle être présente pour en surveiller les occasions et en atténuer les effets? Je l'ai quelquefois pensé depuis. Ce serait une explication bien honorable de cette présence persévérante qui paraissait quelquefois un peu ridicule et dont nous nous moquions dans le temps. Quoi qu'il en soit, jamais lady Castlereagh ne permettait

Voulez-vous que nous nous moquions ensemble d'Arkhédèmos qui,

Vers midi, la garnison entière de l'Amba reçut l'ordre de prendre les armes et de partir pour le camp de l'empereur. Quelques hommes âgés et les gardiens ordinaires des prisonniers seulement, demeurèrent sur la montagne. Entre trois et quatre heures de l'après-midi, un terrible ouragan se déchaîna sur l'Amba. Il nous semblait de temps en temps que nous distinguions, an milieu des roulements du tonnerre, des coups de fusil éloignés et quelques autres plus sourds, mais plus rapprochés. Parfois, nous nous croyions bien sûrs d'avoir entendu le bruit de quelque décharge, mais nous riions de cette pensée, et nous nous moquions de ce que les roulements prolongés du tonnerre pussent agir de telle sorte sur notre imagination surexcitée, an point de nous faire prendre le bruit de l'orage pour la musique tant désirée d'une attaque de notre armée. Un peu après quatre heures, l'orage diminua, et alors la méprise ne fut plus possible; le son dur et prolongé des fusils, et le bruit aigu de petites armes, nous arrivaient pleinement et distinctement. Mais qu'est-ce que c'était? Nul d'entre nous ne le savait. Deux fois, pendant l'heure qui suivit, le joyeux elelta retentit d'Islamgee

On s'occupe beaucoup des Chinois, depuis quelque temps, et c'est toujours d'une façon peu flatteuse pour eux. Nous ne nous contentons pas de les battre, de tout bousculer dans leurs boutiques, de mettre en fuite leur empereur, de prendre le palais de sa céleste Majesté, de nous partager ses lingots, ses diamants, ses pierreries, ses soieries, il faut encore que nous nous moquions de ce grand peuple, que nous l'appellions peuple de vieillards, de maniaques, peuple de fous et d'imbéciles, peuple amoureux de l'absurde, de l'horrible, du grotesque. Nous rions de ses croyances, de ses mœurs, de ses arts, de sa science, de ses usages familiers même, sous prétexte qu'il mange son riz grain