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Mis à jour: 30 avril 2025


Quand il eut ainsi parlé, le roi Daçaratha fit, au milieu des rishis, cette réponse au souverain de Mithilâ: «On dit avec justesse: «Ceux qui donnent sont les maîtres de ceux qui reçoiventQuand tu ouvres la bouche, sois donc sûr, puissant roi, que tu verras toujours en nous des hommes prêts

À ces paroles dites, le roi de Mithilâ, habile

Ensuite la noble Vidéhaine, songeant aux questions emmiellées que Râvana lui avait adressées, y répondit en ces termes: «Je suis la fille du magnanime Djanaka, roi de Mithila: le nom de ta servante est Sîtâ; son mari est le sage Râma. J'ai habité une année entière le palais de mon époux, jouissant avec lui des voluptés humaines dans l'abondance de toutes les choses désirables. Ce temps écoulé, le monarque, après en avoir délibéré avec ses ministres, jugea convenable de sacrer mon époux comme associé

«Lakshmana est mon bras droit; et la princesse de Mithila, mon ombre. En effet, il m'est aussi impossible de quitter Sîtâ, qu'au sage d'abandonner sa gloire! Quand je tiens mes flèches et mon arc en main, d'où peut venir un danger pour moi? D'aucun être, pas même de Çatakratou, le seigneur des trois mondes! Bonne mère, ne sois pas affligée! obéis

«Je tuerai, moi! cette reine des gazelles, on n'en peut douter; mais toi, héros, veille ici d'un oeil sans négligence sur la princesse de Mithila. Il ne faut pas que tu bouges d'ici jusqu'

Alors, s'inclinant, celle-ci salua cette vénérable Anasoûyâ, ferme dans ses voeux, et se hâta de lui dire: «Je suis la princesse de Mithila

Toi, chère Mithilienne, avec ce liniment que tu reçois de mon amitié, tu raviras sans cesse ton époux bien-aimé, comme Çri, la déesse aux formes charmantes fait les délices de VishnouLa princesse de Mithila reçut encore avec cet onguent céleste des vêtements, des parures et même des bouquets de fleurs, présent incomparable d'amitié.

«Jadis, Indra et les Dieux ont donné au roi de Mithila cet arc géant, comme un dépôt, au temps que la guerre fut terminée entre eux et les Démons. Ni les Dieux, ni les Gandharvas, ni les Yakshas, ni les Nâgas, ni les Rakshasas ne sont capables de bander cet arc: combien moins, nous autres hommes, ne le saurions-nous faire

Après cet adieu au roi qui tenait Mithilâ sous sa loi, Daçaratha, cédant le pas

À ce fracas assourdissant, tous les hommes tombèrent; frappés de stupeur, excepté Viçvâmitra, le roi de Mithilâ et les deux petits-fils de Raghou. Quand la respiration fut revenue libre

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