Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 29 juin 2025


Si Paul Mirot avait pris la peine de réfléchir il eut, sans doute, trouvé étrange qu'un homme qui a de l'argent plein ses poches puisse se contenter d'un menu de restaurant

La maladie et la mort de Simone, qui mirent la vie de Mirot en danger et l'éloignèrent du monde extérieur pendant plus d'un mois, lui firent aussi ignorer l'article outrageant pour vaillant et ses amis, publié dans La fleur de Lys sur le bal de l'hôtel Windsor, un hôtel protestant. Le vertueux Pierre Ledoux terminait cet article en affirmant que Satan en personne avait déployé toutes ses pompes et accompli toutes ses oeuvres

[Illustration] Il y avait quatre mois que Paul Mirot habitait la ville. On était en septembre et il faisait bon, dans l'air tiède encore, de se promener vers les cinq heures, après le journal, par les rues resplendissantes des feux du soleil couchant. Au Canada, septembre est l'un des plus beaux mois de l'année. Ce n'est plus l'été avec sa chaleur accablante, ses orages redoutables, et ce n'est pas encore l'automne au ciel gris, au feuillage jaunissant. A la campagne, surtout, on éprouve une sensation indéfinissable de réconfort et de vague attendrissement

Au Populiste, Paul Mirot commençait

Paul Mirot se rendit d'un trait rue Peel. C'était le premier vendredi du mois, la jolie veuve appartenant depuis quelque temps

A huit heures et quart, joyeux et dispos, Vaillant et Mirot s'installèrent

Quand l'heure du midi sonna, Paul Mirot avait tant bien que mal accompli sa tâche de la matinée et il alla luncher de bon appétit, étant presque satisfait de lui-même... A son retour, Blaise Pistache lui dit: Maintenant, je vais vous mettre

Puis, son étreinte se desserra, sa tête retomba en arrière, et Paul Mirot vit passer dans ses yeux grands ouverts, toute son âme qu'elle lui donnait. C'était la fin. Son oeil se voila, ses membres se raidirent, un dernier soubresaut l'agita, telle la perdrix que Mirot avait tuée un soir d'automne, expirant

Paul Mirot, en souvenir de son exploit, fut surnommé Pique, par tous les gamins de l'école.

Mirot, au comble de l'indignation, interrompit l'orateur en lui disant: Taisez-vous, misérable cocu! Des partisans de Vaillant, dans la foule, répétèrent: Cocu!... Cocu!! Sans se déconcerter, tellement il en avait l'habitude, Montretout répliqua: Oui, messieurs, je suis cocu, et je le sais depuis longtemps.

Mot du Jour

trimmel

D'autres à la Recherche