Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !
Mis à jour: 3 juillet 2025
En même temps, la Revue encyclopédique publiait un avertissement sur la traduction allemande des Chansons nuptiales serbes, faite par Eugène Wesely , et sur les Nékoliké piesnitsé («Quelques chansons») du poète serbe Siméon Miloutinovitch, qui avait profité de cet enthousiasme serbophile pour obtenir de Goethe un article sur ses inintelligibles improvisations auxquelles on accordait un certain crédit presque jusqu’
En traduisant avec Miloutinovitch les véritables chants serbes, Gerhard s'était assimilé une foule d'expressions: des épithètes homériques, des répétitions fréquentes, enfin, certains autres procédés de l'improvisateur serbe. Il avait appris chez les traducteurs qui l'avaient précédé, particulièrement chez Mlle von Jakob,
On y parlait ensuite des Nékoliké piesnitsé de Miloutinovitch, «homme d’un esprit cultivé», et l’on terminait en disant quelques mots de la Danitsa («
Dès 1826, il préparait ainsi son recueil de poésies populaires serbes traduites en vers allemands avec le secours du pauvre diable de Miloutinovitch auquel il payait galamment «en thé et en cigares» le temps perdu et les services rendus .
«Le Serbe» dont il parle était le poète Sima Miloutinovitch, qui traduisait pour lui les piesmas en prose allemande, car cet homme qui était une «authorité» en fait de littérature serbe, ne croyait même pas devoir connaître cette langue.
Mot du Jour
D'autres à la Recherche