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Mis à jour: 12 octobre 2025
Le Mexicain a, pour toutes ses faiblesses, au besoin pour tous ses crimes, une excuse: le manque d'éducation, le défaut absolu d'organisation sociale. Mais, en nous reportant au moyen âge, au temps de nos guerres religieuses, et même au règne de Louis XV, nous trouverions chez nous plus de misères et de violences de toutes sortes. C'est l'histoire des deux chiens de Lycurgue.
Et José serra les poings comme s'il se fût débattu contre un ennemi imaginaire. Tous ses efforts pour éveiller mes craintes furent inutiles. Je répondis en montrant mes revolvers, mon rifle et la ceinture bien garnie de mon domestique Godé. Quand le bonhomme mexicain vit que j'étais déterminé
Un soir, dans une académie de monte, il tua un colonel mexicain dans un duel au couteau, et fut blessé de deux balles par un citoyen des
Cela prouve, en somme, que le Mexicain manque d'énergie. Il aime trop la paix, c'est pour cela qu'il a toujours la guerre. Une vingtaine d'hommes turbulents bouleversent l'empire: la loi de Lynch et quelques exécutions rapides réduiraient tous ces coureurs de route, et ces loups féroces se changeraient en mouton paisibles.
Les études de MM. Cramer et del Corral, et celles qui eurent lieu après eux, laissèrent donc l'isthme de Tehuantepec en excellente renommée. Quand furent terminées les guerres de la révolution française, en 1814, les cortès espagnoles, sur la proposition d'un député mexicain, don Lucas Alaman, qu'on a vu depuis ministre des affaires étrangères
Peu après l'indépendance du Mexique, le général du génie don Juan Orbegoso fut détaché par le gouvernement mexicain pour procéder
En se dirigeant vers Mexico, les alentours de la ville sont peuplés de fabriques de rebozos, étoffe de coton, produit essentiellement mexicain. Le rebozo est une espèce d'écharpe étroite et longue, dans laquelle les femmes se drapent avec une certaine élégance. Puebla fournit cet article
Le Mexicain aime
Au fond de la salle se trouvait une table très-large, derrière laquelle le banquier dirigeait, avec ses nombreux aides, le monte, jeu de hasard mexicain qui se joue avec des cartes et qui est fort
Enfin, on entra en séance. Hamelin fit connaître au conseil le rapport qu'il devait lire devant l'assemblée générale. C'était le gros travail que Saccard préparait depuis longtemps, qu'il venait de rédiger en deux jours, augmenté des notes apportées par l'ingénieur, et qu'il écoutait modestement, d'un air de vif intérêt, comme s'il n'en avait pas connu un seul mot. D'abord, le rapport parlait des affaires faites par la Banque universelle, depuis sa fondation elles n'étaient que bonnes, de petites affaires au jour le jour, réalisées de la veille au lendemain, le courant banal des maisons de crédit. Pourtant, d'assez gros bénéfices s'annonçaient sur l'emprunt mexicain, qui venait d'être lancé le mois d'auparavant, après le départ de l'empereur Maximilien pour Mexico un emprunt de gâchis et de primes folles, dans lequel Saccard regrettait mortellement de n'avoir pu barboter davantage, faute d'argent. Tout cela était ordinaire, mais ou avait vécu. Pour le premier exercice, qui ne comprenait que trois mois, du 5 octobre, date de la fondation, 31 décembre, l'excédent des bénéfices était seulement de quatre cent et quelques mille francs, ce qui avait permis d'amortir d'un quart les frais de premier établissement, de payer aux actionnaires leur cinq pour cent et de verser dix pour cent au fonds de réserve; en outre, les administrateurs avaient prélevé le dix pour cent que leur accordaient les statuts, et il restait une somme d'environ soixante-huit mille francs, qu'on avait portée
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