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Mis à jour: 14 juillet 2025
Mickhaïl Ossipoff riposta d'un ton rogue: Vous êtes comme saint Thomas, vous ne croyez qu'aux choses que vous voyez, mais si jamais, dans votre existence terrienne, il vous était arrivé de regarder dans un télescope, vous eussiez été persuadé de l'existence des mers martiennes sans avoir, pour cela, besoin de faire le voyage.
Ce fut aussi un des titres de gloire du grand artiste Bernard de Palissy (1500-1589) d'avoir énergiquement soutenu que les fossiles étaient des restes d'animaux pour la plupart marins, et qu'en conséquence les mers avaient autrefois couvert une vaste étendue des continents, opinion déj
Vous saurez d'abord, Jean-Joseph, que l'eau de toutes les mers remue toujours; elle n'est jamais tranquille une seule minute, elle danse
Les plus libres des êtres, qui naguère égayaient la mer, ces bons phoques, ces douces baleines, le pacifique orgueil de l'Océan, tout cela a fui aux mers des pôles, au monde affreux des glaces. Mais ils ne peuvent tous supporter une vie si dure; encore un peu de temps, ils disparaîtront tout
Parmi les produits de la colonie, il faut ajouter l'huile des baleines, qui abondent en ces mers; les peaux de phoques, et les diverses sortes de poissons qui, importés d'Europe et d'Amérique, se sont multipliés dans les lacs et les rivières. La mer donne des poissons analogues
Ce qui se passe alors dans ce pieux délire, Les langues d'ici-bas n'ont plus rien pour le dire; L'âme éprouve un instant ce qu'éprouve notre oeil Quand, plongeant sur les bords des mers près d'un écueil, Il s'essaye
Page 14. Mers gélatineuses, nourrissantes. M. de Humboldt, dans l'un de ses premiers ouvrages (Scènes des tropiques), a le premier, je crois, constaté ce fait. Il l'attribue
Ses cheveux blonds, sa figure blafarde et sans barbe lui avaient fait donner par les Indiens le surnom de Ouela-Dougou, paroles tagales qui voulaient dire: Qui n'a point de sang. Un jour que je traversais le lac dans une petite pirogue avec lui et deux Indiens, nous fûmes surpris par un de ces terribles coups de vent des mers de Chine que l'on nomme tay-foung.
Pour voir un objet sans pareil, Il ne faut point courir sur tant de mers profondes, Ni voir l'un et l'autre soleil, Il faut voir ces deux petits mondes. Pour rendre de mon sort tout l'univers jaloux, Il suffit qu'
Qui a pu vous débiter de telles balivernes? Il y a dix ans que je connais notre commandant et que je le suis sur toutes les mers, et jamais rien n'a pu, je vous assure, me donner
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