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Mis à jour: 31 mai 2025
La jeune femme s'était agenouillée auprès de Paul, et ses mains se mêlaient aux siennes. Se parlaient-ils? Je n'entendais pas de mots, et pourtant je devinais qu'ils se disaient silencieusement des choses exquises.
On y va, les vieux, on y va! cria-t-il. Sous les massifs ombreux où les grands lilas se mêlaient aux cytises, on apercevait quelque chose de mouvant et d'informe: une masse de couleur bleue au-dessus de laquelle deux bonnets de police s'agitaient. Ça va bien? demanda Roger par la fenêtre.
En cette femme, elle l'avouera plus tard, qui ne s'était donnée au Roi, qui n'avait vécu avec lui les premiers temps que poussée par une extrême misère, mais chez laquelle l'amour était venu au bout de deux mois , et n'avait fait que grandir avec les années, se mêlaient
Cela est-il certain? demandèrent-ils tous trois ensemble et d'une voix où se mêlaient l'expression de la terreur et celle de l'espérance. L'envoyé répondit: Je vous attendrai tous trois dans quatre jours,
Et, leurs regards plongeant l'un dans l'autre, comme si leurs âmes s'y mêlaient, ils y mesurèrent l'infini d'une tendresse que rien au monde ne pourrait briser; car l'espoir fou d'immortalité, par del
Aux claques se mêlaient des cris et des reproches. La voix de Beausire tonnait, celle d'Oliva étonnait. Qu'on nous passe ce mauvais jeu de mots, car il rend au complet notre idée. «En effet, disait l'inconnu en s'éloignant, on n'eût jamais pu croire que cette femme, si stupéfiée tout
Elle courait, éperdue, car il lui semblait que des voix effroyables se mêlaient aux mugissements de la tempête, et que dans les ténèbres, autour d'elle, des spectres la menaçaient.
Ses sifflements se mêlaient au grand bruit des vagues qui se brisaient sur les rochers de l'île avec de rauques clameurs; tandis que des cris sinistres de huards s'élevaient au loin dans la nuit orageuse, comme l'écho des affreuses lamentations de la victime.
Sur le soir, les cloches sonnèrent pour annoncer le dimanche: les battants frappaient avec régularité, les sons tombaient des tours, descendaient dans la ville, se mêlaient dans ses rues et remontaient en larges ondes comme les notes d'un unique et vaste carillon, qui aurait surgi de la terre même.
De toute la nuit, je ne pus dormir, et ne quittai même pas mes habits. J'avais eu l'intention de gagner de grand matin la porte de la forteresse par où Marie Ivanovna devait partir, pour lui dire un dernier adieu. Je sentais en moi un changement complet. L'agitation de mon âme me semblait moins pénible que la noire mélancolie où j'étais plongé précédemment. Au chagrin de la séparation se mêlaient en moi des espérances vagues mais douces, l'attente impatiente des dangers et le sentiment d'une noble ambition. La nuit passa vite. J'allais sortir, quand ma porte s'ouvrit, et le caporal entra pour m'annoncer que nos Cosaques avaient quitté pendant la nuit la forteresse, emmenant de force avec eux Ioulaï, et qu'autour de nos remparts chevauchaient des gens inconnus. L'idée que Marie Ivanovna n'avait pu s'éloigner me glaça de terreur. Je donnai
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