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Mis à jour: 16 juin 2025


AARON. Oui, de n'en avoir fait mille fois davantage, et même en ce moment je maudis le jour (cependant je crois qu'il en est peu sur lesquels puisse tomber ma malédiction) je n'aie fait quelque grand mal, comme de massacrer un homme ou de machiner sa mort, de violer une vierge ou d'imaginer le moyen d'y arriver, d'accuser quelque innocent ou de me parjurer moi-même, de semer une haine mortelle entre deux amis, de faire rompre le cou aux bestiaux des pauvres gens, d'incendier les granges et les meules de foin dans la nuit, et de dire aux propriétaires d'éteindre l'incendie avec leurs larmes: souvent j'ai exhumé les morts de leurs tombeaux, et j'ai placé leurs cadavres

«Vous partez, et des pleurs de regrets ne viennent pas obscurcir mes yeux, et je ne maudis point cet exil volontaire! Tant de courage doit vous sembler un prodige,

«Oh! Southwell! Southwell! combien je me félicite de t'avoir abandonné, et combien je maudis les lourdes heures écoulées plusieurs mois durant, au milieu des Mohawk qui habitent tes kraals! Toutefois une chose me console, c'est, grâce

Ne me parlez pas, fit-elle, de cet homme! Vous le maudissez, dit Régulus sans se troubler, parce que vous le croyez coupable. Je le maudis parce qu'il m'a été funeste, parce que ma petite-fille et moi nous lui devons le malheur de notre vie. Ecoutez-moi, madame, dit Régulus, et quand vous m'aurez entendu, peut-être changerez-vous d'opinion sur son compte.

«Ah! ma chère Juliette, quelle douleur j'ai éprouvée par l'affreuse nouvelle que je reçois! que je maudis l'exil qui ne me permet pas d'être auprès de vous, de vous serrer contre mon coeur!

Tu l'as dit toi-même, je ne lui dois rien, répliqua l'autre. Que la malédiction dont il me menace retombe sur sa tête! O fils de Meryem, je ne te maudis pas. Que le prophète me garde de te maudire, c'est assez que ma tête soit vouée. Mais écoute mon conseil ou plutôt ma prière. Que celle que tu emmènes ne trouve jamais ses heures lourdes; enveloppe-la de bien-être et d'amour.

Quoi! des larmes, ma Mirrha! Qu'elles coulent; elle pleure pour bien d'autres, et elle est elle-même la cause de pleurs plus amers. Maudit celui qui fait ainsi couler les siennes! Oh! ne te maudis pas toi-même: des millions d'hommes le font déj

Je hais l'oppression d'une haine profonde. Aussi, lorsque j'entends, dans quelque coin du monde, Sous un ciel inclément, sous un roi meurtrier, Un peuple qu'on égorge appeler et crier: . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Alors, oh! je maudis dans leur cour, dans leur antre, Ces rois dont les chevaux ont du sang jusqu'au ventre! Je sens que le poète est leur juge! je sens Que la muse indignée, avec ses poings puissants, Peut, comme au pilori, les lier sur leur trône, Et leur faire un carcan de leur lâche couronne, Et renvoyer ces rois qu'on aurait pu bénir, Marqués au front d'un vers que lira l'avenir! Oh! la muse se doit aux peuples sans défense. J'oublie alors l'amour, la famille, l'enfance, Et les molles chansons, et le loisir serein, Et j'ajoute

Oh! fatalité... fatalité! reprit Rodolphe. Maintenant je maudis mes craintes, mon silence: cette funeste idée, depuis longtemps enracinée dans son esprit, y a fait

C'est une chose étrange que la malédiction d'un père. Ce n'est pas une force, comme disent les mathématiciens; ce n'est pas un corps, une substance, une chose matérielle, avec laquelle vous puissiez toucher celui auquel vous l'adressez; trois mots: Je te maudis; ce n'est autre chose que l'expression d'un voeu pour son malheur, lequel ne devait pas avoir plus de portée que cette autre forme, bien plus usuelle et bien plus arrêtée: Que le diable t'emporte! Et cependant, d'ordinaire, la vie d'un homme s'en trouve flétrie, et il est rare qu'il mène

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