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Mis à jour: 31 octobre 2025
Où elle était belle aussi, c'était le soir, déshabillée, tendant, hors de sa longue chemise flottante, ses bras nus aux baisers. Toute endormie, elle répétait une enfantine prière, aux rimes naïvement absurdes: Petit Jésus, mon Sauveur, Venez naître dans mon coeur, Ne tardez pas tant Parce que la petite Marthe vous attend. Mon Dieu, donnez la santé
Folle! ce sera une goutte d'eau dans la mer. Tu n'as aucune idée de la vie réelle, ma pauvre Marthe; tu vis dans les nues, et tu crois que l'on se tire d'affaire par une péripétie de roman. Si je vis dans les romans et dans les nues, c'est vous qui l'exigez, Horace. Mais laissez-moi en descendre, et vous verrez bien que je n'y ai pas perdu le goût du travail et l'habitude des privations.
Volodia, comme sa sœur Marthe, ne dépensait pas son affection en démonstrations; il la concentrait, au contraire, afin d'en montrer tout le trésor seulement dans les occasions qui en valaient la peine.
Marthe souffrait surtout de ne pouvoir donner aux quêtes de Saint-Saturnin; elle cachait des pièces de dix sous dans des morceaux de papier, qu'elle gardait précieusement pour les grand'messes des dimanches. Maintenant, quand les dames patronnesses de l'oeuvre de la Vierge offraient quelque cadeau
Marthe était très-propre et très-rangée. Dans un coin de l'antichambre se trouvait la porte d'un cabinet où Mme Auclert serrait les confitures, les biscuits, la provision de sucre, de café et de chocolat, enfin toute espèce de friandises. Elle avait cédé la moitié de ce cabinet
Puis, se tournant vers Marthe: Tu ne sais pas, quand tu verras ton locataire, tu devrais le sonder, de façon
Le jour où sa mère lui jura que l'abbé «se moquait d'elle», Marthe se rendit
La famille se composait maintenant aussi de Marthe et de Volodia Drévine. Après une épreuve de deux années, Korzof et sa femme avaient compris qu'ils ne pouvaient mieux faire que de s'adjoindre dans l'œuvre d'éducation ces deux enfants, déj
Pour la première fois depuis le commencement de la période d'alarmes que traversait Henriette, elle ne vint pas nous voir le lendemain. Nous faisons prendre des nouvelles par téléphone, la femme de chambre nous répond: «Madame va bien, madame est sortie.» Le jour suivant, même jeu. Alors, nous nous tenons cois. Pendant ce temps, la déplorable affaire de son mari prend des proportions scandaleuses, tous les journaux s'en occupent, la pauvre femme, avertie maintenant, doit les lire; elle porte encore le nom de cet homme, peut-être n'ose-t-elle sortir, nous avons pitié d'elle. Marthe se décide
Et elle le laissa seul. D'abord, il marcha dans la pièce, le front soucieux, puis se rapprochant du berceau, il regarda la petite Marthe dormir. Les premiers jours, déconcerté par ses sensations nouvelles, il n'avait su aimer l'enfant. Maintenant, elle l'attirait, par ses vagues sourires, ses regards sérieux, et ses remuantes petites mains qui semblaient dévider un perpétuel écheveau de fil.
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