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Mis à jour: 31 mai 2025
Au loin, les marteaux des calfats tamponnaient des carènes, et une brise lourde apportait la senteur du goudron.
Et, dans l'ombre bleuâtre de la glace, elle crut voir se lever les figures de Saccard et de Maxime. Saccard, noirâtre, ricanant, avait une couleur de fer, un rire de tenaille, sur ses jambes grêles. Cet homme était une volonté. Depuis dix ans, elle le voyait dans la forge, dans les éclats du métal rougi, la chair brûlée, haletant, tapant toujours, soulevant des marteaux vingt fois trop lourds pour ses bras, au risque de s'écraser lui-même. Elle le comprenait maintenant; il lui apparaissait grandi par cet effort surhumain, par cette coquinerie énorme, cette idée fixe d'une immense fortune immédiate. Elle se le rappelait sautant les obstacles, roulant en pleine boue, et ne prenant pas le temps de s'essuyer pour arriver avant l'heure, ne s'arrêtant même pas
De toutes les cités ô cité souveraine, Paris, qui t'a donné ton fier bandeau de reine . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tes foules éveillant, comme au loin les rameurs, De sourds mugissements ou de vastes clameurs? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le travail t'embrassant, quand sa grande aile s'ouvre, Depuis le Panthéon jusqu'aux sommets du Louvre, Animant les marteaux, la scie et les leviers, Et ne laissant dormir aucun de tes quartiers; . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Tes orchestres géants, tes fêtes colossales, Tout ce tumulte enfin, ce brillant coloris Qui rend belle
Hélas! je plains vos poings stupides, D'affreux clous et de marteaux pleins! Vous persécutez pêle-mêle Le mal, le bien, la griffe et l'aile, Chasseurs sans but, bourreaux sans yeux! Vous clouez de vos mains mal sûres Les hiboux au seuil des masures, Et Christ sur la porte des cieux!» Mai 1843.
Pendant deux heures, notre pêche fut activement conduite, mais sans rapporter aucune rareté. La drague s'emplissait d'oreilles de Midas, de harpes, de mélanies, et particulièrement des plus beaux marteaux que j'eusse vu jusqu'
Obscurément: marteaux cassés! mortes les heures! Un soir immensément oppresse et s'établit; Et rien de Dieu n'ira jamais vers ces demeures Clouer ses bras en croix, dans l'ombre, où sur un lit, Obscurément, et nue, et, sous les langues d'or D'un grand flambeau tordu comme un rut de sirènes, Le ventre vieux et mort, Gamiani détord Avec ses doigts d'hiver ses lèvres souterraines.
Combien, lorsque tu joues, toi qui es ma musique, une douce musique sur ce bois béni que font résonner tes doigts charmants, lorsque tu fais doucement obéir cette harmonie vibrante qui étonne mon oreille, combien souvent j'envie ces marteaux qui s'élancent pour baiser la tendre paume de ta main, tandis que mes pauvres lèvres, qui devraient recueillir cette récolte, rougissent
Dans le silence embarrassé de cette fin de repas arrivaient des sons étouffés, des bouffées d'harmonie scandées par des bruits de marteaux, les tentures, l'estrade que l'on clouait en bas pour le concert, pendant que les musiciens répétaient leurs morceaux. La porte s'ouvrit. Le chef de cabinet entra, des papiers
Au loin, les marteaux des calfats tamponnaient des carènes, et une brise lourde apportait la senteur du goudron.
Il savait que c'est dans le temple que furent forgés les marteaux qui ébranlèrent le temple. Il disait bien souvent: «Telle est la force de la discipline théologique que seule elle est capable de former les grands impies; un incrédule qui n'a point passé par nos mains est sans force et sans armes pour le mal.
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