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Mis à jour: 1 juillet 2025
Je chantais donc, si j'ose dire, lorsque Mme Pauline Viardot, penchée vers le clavier et suivant mes doigts, me dit avec un accent d'émotion inoubliable: «Qu'est-ce que cela?» «Un ouvrage de jeunesse, Marie-Magdeleine, qui n'attend même plus l'espoir d'être exécuté,» lui dis-je. «Comment? Eh bien! il le sera, et c'est moi qui serai votre Marie-Magdeleine.»
Comme je devais partir avec ma femme, le lendemain, pour l'Italie, je n'eus pas de nouvelles immédiates. Le premier écho de Marie-Magdeleine ne devait m'arriver qu'
Venant de vous parler de Marie-Magdeleine, je vous confesserai, mes chers enfants, que, comme j'en avais eu le pressentiment, cet ouvrage devait finir par avoir les honneurs de la scène. Cependant, il me fallut attendre trente ans pour posséder cette bien douce satisfaction. Elle vérifiait l'opinion que je m'étais faite de ce drame sacré.
Cette promenade ne donnait-elle pas satisfaction aux secrets sentiments de tout jeune homme, amoureux de l'amour? Puis Vicenze, Padoue, où, en contemplant les peintures de Giotto, sur l'Histoire du Christ, j'eus l'intuition que Marie-Magdeleine occuperait un jour ma vie; et enfin Venise!
Marie-Magdeleine m'avait donc fait revivre
Un soir qu'il lisait la vie de Marie-Magdeleine, il fit cette réflexion qu'aux femmes seules il est beaucoup pardonné si elles ont beaucoup aimé; ce qui est une vertu chez la femme est considéré comme une faiblesse chez l'homme. «Et pourtant, disait-il, combien qui ne sont plus des hommes, parce qu'ils ont rencontré une femme sur leur chemin!»
Marie-Magdeleine Pioche de la Vergne, comtesse de la Fayette, naquit, en 1632, d'Aymar de la Vergne, maréchal de camp et gouverneur du Hâvre-de-Grâce, et de Marie de Péna, d'une ancienne famille de Provence.
Je vous remercie de l'air malheureux, gêné, que vous avez eu en nous découvrant dans la salle; il venait de la crainte de me faire du chagrin, pas vrai? Non, je n'en ai pas eu, presque pas eu, et j'ai compris pourquoi vous ne m'avez pas aimée: cette femme est blonde comme Ève, blonde comme Vénus, comme Marie-Magdeleine, comme toutes les grandes amoureuses, comme toutes les aimées...
Ma petite Marie-Magdeleine était venue
Elle était harmonieuse et captivante. Quinze ans auparavant, sa tante, mademoiselle Rose de Presles, l'avait mariée au compositeur de musique Leprince-Mirbel, garçon d'avenir et presque aussi jeune qu'elle. L'union sembla d'abord heureuse. Marie-Magdeleine de Presles, pleine de foi en son mari, pleine d'enthousiasme pour son talent, vécut trois années d'enchantement.
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