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Mis à jour: 12 juin 2025
Pendant toute la journée du lendemain la galerie déroula devant nos pas ses interminables arceaux. Nous marchions presque sans mot dire. Le mutisme de Hans nous gagnait. La route ne montait pas, du moins d'une façon sensible; parfois même elle semblait s'incliner.
A dix mètres de profondeur, nous marchions au milieu d'un essaim de petits poissons de toute espèce, plus nombreux que les oiseaux dans l'air, plus agiles aussi, mais aucun gibier aquatique, digne d'un coup de fusil. ne s'était encore offert
Le 24, nous marchions sur Mont-Falut, lorsqu'on vint nous dire que les Mamelouks étaient
Ainsi nous marchions, incessamment charmés par quelque merveille nouvelle. Conseil observait et classait ses zoophytes, ses articulés, ses mollusques, ses poissons. Les journées s'écoulaient rapidement, et je ne les comptais plus. Ned, suivant son habitude, cherchait
Nous avions devant les yeux un grand et magnifique spectacle. »Depuis quelques minutes, nous marchions entre deux hautes rampes qui nous cachaient l'horizon et le ciel. On aurait dit deux gigantesques remparts. L'averse avait cessé. Le vent du nord-ouest, chassant devant soi les nuées, balayait le firmament, toujours plus étincelant après l'orage. La lune épandait
Nous marchions toujours, toujours, avec toutes nos voiles, vers le sud.
Dans l'après-midi, ce ne fut pas sans un certain embarras que nous fîmes, en sortant du café, la petite promenade accoutumée, jusqu'au mail, où les dames commençaient leur promenade, en longeant, pour s'y rendre, les boutiques où de jolies filles se montraient aux vitrines dès que passait un uniforme. C'est en groupes de deux ou trois que nous marchions, nous suivant un peu par grades, une cigarette aux lèvres, donnant quelque chose de contraint et de mystérieux aux sourires de reconnaissance. Les maris étaient encore qui
Ils me contèrent que, le 29 novembre au matin, un peu avant le départ du régiment des bords de la Bérézina, on les avait commandés de corvée pour enterrer plusieurs hommes du régiment, tués la veille ou morts de misère; qu'après avoir accompli cette triste mission, ils étaient partis pensant suivre la route que le régiment avait prise, mais que, malheureusement, ils s'étaient trompés en suivant des Polonais qui se dirigeaient sur leur pays. Ce n'est que le lendemain qu'ils s'en aperçurent: «Enfin, me dirent-ils, il y avait un mois que nous marchions dans un pays inconnu, désert, toujours dans la neige, sans pouvoir nous faire comprendre, sans savoir où nous étions et où nous allions; l'argent que nous avions ne pouvait nous servir. Si, quelquefois, nous nous sommes procuré quelques douceurs, comme du lait ou de la graisse, c'est aux dépens de nos habits, en donnant nos boutons
Le lendemain, nous cheminions de bonne heure, mon maître et moi, sur la route de Saint-Germain. La neige qui couvrait la terre, sous la lumière rousse du ciel, rendait l'air muet et sourd. La route était déserte. Nous marchions dans de larges sillons de roues, entre des murs de potagers, des palissades chancelantes et des maisons basses dont les fenêtres nous regardaient d'un oeil louche. Puis, ayant laissé derrière nous deux ou trois masures de terre et de paille
Le premier qui tomba chez nous, lorsque nous marchions en colonne, fut le malheureux Beloque, celui qui,
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