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Mis à jour: 9 mai 2025
Bien nombreux sont les parasites des Anthophores. Des Abeilles inhabiles dans l'art de bâtir et de récolter le pollen et le miel, les Mélectes (fig. 47) au vêtement de deuil, taches blanches sur fond noir, les Cœlioxys (fig. 48)
Outre les Mégachiles, qui sont leurs victimes habituelles, les Cœlioxys supplantent aussi parfois les Anthophores; tel le C. rufescens, qui se rencontre fréquemment dans les cellules de l'Anth. parietina et de quelques autres Anthophores. Les Mélectes, les plus grosses des Nomadines, sont affectées aux Anthophores. On est peu ou point renseigné sur le compte des Crocises.
Nous nous éloignons des Cœlioxys. Le thème de l'ornementation est bien le même, mais augmenté chez les Crocises, plus confus et comme noyé dans l'épaisse toison dorsale, chez les Mélectes. Cette même tendance s'accuse encore plus dans les autres genres de Nomadines.
Les jeunes larves de Méloé établies dans le duvet des Anthophores ou dans celui des Mélectes et des Coelioxys, leurs parasites, avaient pris une voie infaillible pour arriver tôt ou tard dans la cellule désirée.
J'en ai pareillement trouvé sur le corps des Mélectes et des Coelioxys, hyménoptères parasites de l'Anthophore. Suspendant leur audacieux va-et-vient devant les galeries en construction, ces larrons de cellules approvisionnées, se posent un instant sur quelque fleur de camomille, et voil
Viennent ensuite les NOMADINES vraies. Et d'abord les Crocises (fig. 82) et les Mélectes (fig. 83), aux formes lourdes et massives, mais élégamment vêtues de deuil, ornements d'un blanc de neige sur fond noir; les premières, faciles
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