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En dehors du parasitisme de ces insectes, on ne sait rien de leurs habitudes. Le second groupe des Parasites peut se subdiviser en deux tribus, les Cœlioxydes et les Nomadines proprement dites.

Nous ne mentionnerons même point une foule de genres, soit européens, soit exotiques, la plupart pauvres en espèces, que comprend encore le groupe des Nomadines. Nous y trouverions, diversifié

Outre les Mégachiles, qui sont leurs victimes habituelles, les Cœlioxys supplantent aussi parfois les Anthophores; tel le C. rufescens, qui se rencontre fréquemment dans les cellules de l'Anth. parietina et de quelques autres Anthophores. Les Mélectes, les plus grosses des Nomadines, sont affectées aux Anthophores. On est peu ou point renseigné sur le compte des Crocises.

Viennent ensuite les NOMADINES vraies. Et d'abord les Crocises (fig. 82) et les Mélectes (fig. 83), aux formes lourdes et massives, mais élégamment vêtues de deuil, ornements d'un blanc de neige sur fond noir; les premières, faciles

Nous nous éloignons des Cœlioxys. Le thème de l'ornementation est bien le même, mais augmenté chez les Crocises, plus confus et comme noyé dans l'épaisse toison dorsale, chez les Mélectes. Cette même tendance s'accuse encore plus dans les autres genres de Nomadines.

Cette instabilité de caractères que nous offrent les Nomadines est en rapport avec l'adaptation de leurs espèces