Vietnam or Thailand ? Vote for the TOP Country of the Week !

Mis à jour: 15 juin 2025


Brière de Boismont (Gazette médicale, 1859, 2 juillet) raconte l'histoire d'un nécrophile qui, après avoir corrompu les gardiens, s'est introduit dans la chambre mortuaire gisait le cadavre d'une fille de seize ans, enfant d'une famille très distinguée. Pendant la nuit, on entendit dans la chambre mortuaire un bruit comme si un meuble eût été renversé. La mère de la jeune fille décédée pénétra dans la chambre et aperçut un homme en chemise qui venait de sauter du lit de la morte. On le prit d'abord pour un voleur, mais bientôt on s'aperçut de quoi il s'agissait. On apprit que le nécrophile, fils d'une grande famille, avait déj

J'ai dit plus haut que la commisération et l'empirisme aveugle ont été les premiers moteurs de la médecine; ensuite la réflexion est venue amenant le doute, puis la vérification scientifique. Cette évolution médicale peut se vérifier encore chaque jour autour de nous; car chaque homme s'instruit dans les connaissances qu'il acquiert, comme l'humanité dans son ensemble.

Il fallut bien se résigner, car, quoique tous les médecins fissent partie de la même école, étudiassent les mêmes livres, eussent par conséquent une seule et même science, on avait, pour une raison quelconque, décidé autour de la princesse que la célébrité médicale en question possédait la science spéciale qui devait sauver Kitty. Après un examen approfondi, une auscultation sérieuse de la pauvre malade confuse et éperdue, le célèbre médecin se lava les mains avec soin, et retourna au salon auprès du prince. Celui-ci l'écouta en toussotant, d'un air sombre. En homme qui n'avait jamais été malade, il ne croyait pas

Dans un pays qui est devenu le nôtre, toute une population demeure ignorante des bienfaits les plus essentiels de la science médicale. On dit qu'elle ne désire pas s'initier

Le dîner fut agréable; on mangeait bien chez Mme Sauvigny, et en sa présence on ne se querellait jamais. Quelque antipathie qu'ils eussent l'un pour l'autre, le docteur Oserel et M. Saintis se faisaient bon visage, ne se montraient point les dents. Le docteur disserta savamment sur une question médicale qui le préoccupait, et M. Saintis parut l'écouter de toutes ses oreilles; M. Saintis raconta des commérages de théâtre, des anecdotes de coulisses, et le docteur sembla y prendre un extrême plaisir. Pour Mme Sauvigny, anecdotes et dissertations l'intéressaient également; cette abeille faisait son miel de tout. Selon la coutume, on prit le café dans la logette vitrée, qui servait de fumoir: la maîtresse de la maison exigeait qu'on fumât devant elle, et pour mettre ses invités

Le docteur Behring est dans la science médicale un homme considérable.

Je ne vous comprends pas, dit le magistrat. Le personnage reprit: Il y a vingt ans, mylord, que je m'occupe d'une question médicale très-grave, et j'ai fait une découverte dont je viens vous offrir l'application. Cet homme s'exprimait avec un calme, une conviction qui excluaient la pensée qu'il pouvait être fou. Cependant le magistrat ne put s'empêcher de l'examiner avec une certaine défiance.

Dans de pareils cas, le bon sens fera soupçonner l'existence de conditions pathologiques. La science médicale a bien établi qu'un penchant de ce genre est basé sur des changements morbides dans le cerveau, altérations qui peuvent mener

Monsieur, oh! mein Herr! vous ferez quelque chose pour nous venir en aide! Il faut le saigner c'est une attaque d'apoplexie, dit Pantaleone. Bien que Sanine ne possédât aucune connaissance médicale, il savait pertinemment que des garçons de quatorze ans ne peuvent pas avoir des attaques d'apoplexie.

En un mot, je considère l'hôpital seulement comme le vestibule de la médecine scientifique; c'est le premier champ d'observation dans lequel doit entrer le médecin, mais c'est le laboratoire qui est le vrai sanctuaire de la science médicale; c'est l

Mot du Jour

trimmel

D'autres à la Recherche