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Mis à jour: 15 juin 2025


Mais les expériences de Chantemesse et Widal soulevèrent d'assez vives polémiques; le monde médical les accueillit avec réserve.

Oh! monseigneur, vous avez bien plus que cela... Combien la Fronde a t-elle duré? À quel propos, Guénaud, me faites-vous cette question? Pour un calcul médical, monseigneur. Mais quelque chose comme dix ans... forte ou faible. Très bien; veuillez compter chaque année de Fronde pour trois ans... cela fait trente; or, vingt et cinquante-deux font soixante-douze ans.

«Depuis que le traitement médical a été terminé, je n'ai plus eu de rapports avec des prostituées. Cette circonstance, ainsi que les nombreuses lettres de mon ancien amant et ses tentatives de renouer l'ancienne liaison, peuvent être considérées comme la cause de ce que, dans l'intervalle de huit mois, je me suis laissé entraîner trois ou quatre fois dans nos entretiens

J.N. Mackenzie (Journal of medical Science, 1884) a rapporté,

L'art médical,

Mais, dans tous les cas, la jeune fille malade doit, avant de se marier, subir un traitement médical; car elle n'a pas le droit de se marier en état de «maladie». Le mariage, le plus souvent, ne la guérirait pas. Or il faut bien savoir que, au début de la vie conjugale surtout, elle n'a pas le droit d'être malade. C'est donc une raison de plus pour la soigner avant le mariage. En général, d'ailleurs, cette cure est des plus simples: la cause de la «maladie» ayant disparu, et le capital biologique n'étant pas encore gravement entamé, le rôle de la thérapeutique se réduit

Le doute est, ainsi que nous l'avons développé ailleurs, la base de l'expérimentation; toutefois il ne faut pas confondre le doute philosophique avec la négation systématique qui met en doute même les principes de la science. Il ne faut douter que des théories, et encore il ne faut en douter que jusqu'au déterminisme expérimental. Il y a des médecins qui croient que l'esprit scientifique n'impose pas de limite au doute. À côté de ces médecins qui nient la science médicale en admettant qu'on ne peut rien savoir de positif, il en est d'autres qui la nient par un procédé contraire, en admettant qu'on apprend la médecine sans savoir comment et qu'on la possède par sorte de science infuse qu'ils appellent le tact médical. Sans doute je ne conteste pas qu'il puisse exister en médecine comme dans les autres sciences pratiques, ce qu'on appelle le tact ou le coup d'oeil. Tout le monde sait, en effet, que l'habitude peut donner une sorte de connaissance empirique des choses capables de guider le praticien, quoiqu'il ne s'en rende pas toujours exactement compte au premier abord. Mais ce que je blâme, c'est de rester volontairement dans cet état d'empirisme et de ne pas chercher

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n'usait

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