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Mis à jour: 17 juin 2025
Oh! tais-toi, boulanger, je t'en prie..., fit encore une fois le pauvre rémouleur avec une expression de voix déchirante. A ce moment, la diligence s'arrêta. Nous étions au mas des Anglores. C'est l
Et, crotté et pleurant, je m'en revins donc au Mas la tête basse, et de nouveau on me dévêtit et on me mit, cette fois, ma robe des jours de fête... Oh! la galante robe! Je l'ai encore devant les yeux, avec ses raies de velours noir, pointillée d'or sur fond bleuâtre. Mais bref, quand j'eus ma belle robe de velours: Et maintenant, dis-je
Gouj................. 31 Van.................. 31 Mous................. 32 Bout................. 32 Bout................. 33 Diem................. 33 Tixi................. 34 Poire................ 34 Martin............... 35 Mas.................. 35 Demi................. 36 Hub.................. 36 Theve................ 37 Tix.................. 37 Ros.................. 38 And.................. 38 Abra................. 39 Gouje................ 39
De le voir ainsi, toujours triste et seul, les gens du mas ne savaient plus que faire. On redoutait un malheur... Une fois,
Il s'appelait Jan. C'était un admirable paysan de vingt ans, sage comme une fille, solide et le visage ouvert. Comme il était très beau, les femmes le regardaient; mais lui n'en avait qu'une en tête, une petite Arlésienne, toute en velours et en dentelles, qu'il avait rencontrée sur la Lice d'Arles, une fois. Au mas, on ne vit pas d'abord cette liaison avec plaisir. La fille passait pour coquette, et ses parents n'étaient pas du pays. Mais Jan voulait son Arlésienne
Et, faisait le gros Tardieu, le monsieur du Mas Blanc, qui, vers la même époque, fut abattu d’un coup de fusil tiré
Mon enfance première se passa donc au Mas, en compagnie des laboureurs, des faucheurs et des pâtres, et quand, parfois, passait au Mas quelque bourgeois, de ceux-l
C'était ce qu'on appelle le relais de Saint-Vincent: cinq ou six mas, de longues granges
Quand, pour dîner ou pour souper, les hommes, l'un après l'autre, entraient dans le Mas, et venaient s'asseoir, chacun selon son rang, autour de la grande table, avec mon seigneur père qui tenait le haut bout, celui-ci, gravement, leur faisait des questions et des observations, sur le troupeau et sur le temps et sur le travail du jour, s'il était avantageux, si la terre était dure ou molle ou en état.
Aussi les vacances venues, quand je retournai au Mas, ma mère en me voyant tout pâle, avec, de temps en temps, des atteintes de fièvre, décida dans sa foi, autant pour me guérir que pour me récréer, de me conduire
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