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Mis à jour: 25 mai 2025


«C'est trop tard, leur dis-je, laissez-moi ici, je veux y mourirCependant elles m'avaient relevée, et elles m'entraînaient; on me reconduisit dans ma cellule, je trouvai la supérieure. «J'ai consulté Dieu sur votre sort; il a touché mon coeur: il veut que j'aie pitié de vous: et je lui obéis. Mettez-vous

Mais qu'y ressent-on de si opposé qu'elle en revienne chaque jour diversement émue? Ma mère rentrait, tantôt animée d'une joie profonde, et tantôt triste et traînante et comme blessée. La joie qu'elle rapportait se marquait de loin dans quelques traits de sa marche et s'épandait de ses regards. J'en éprouvais des communications dans tout mon sein; mais ses abattements me gagnaient bien davantage et m'entraînaient bien plus avant dans les conjectures mon esprit se portait. Dans ces moments, je m'inquiétais de mes forces, j'y reconnaissais une puissance qui ne pouvait demeurer solitaire, et, me prenant, soit

Quelques jours après, ils m'annoncèrent que, leurs affaires étant terminées, ils attendaient que je me misse en route avec eux. Je leur dis que, pour le moment, mes projets m'entraînaient ailleurs, et que je remettais

»Dire comment j'ai vécu, je ne le sais pas. Je n'avais plus d'autre objectif que cette femme. Dix fois, elle m'a chassé, et alors mes amis me prenant en pitié, m'entraînaient dans le monde, espérant que cette diversion me sauverait de moi-même. Rien! c'était comme la tache de sang de lady Macbeth, que toute l'eau de la mer ne parviendrait pas

Autrefois mon attitude en face des femmes était très timide; maintenant je me comporte avec calme, comme un égal avec des égaux. C'est très rarement qu'une excitation directe, dans le sens sexuel, a été provoquée chez moi par une femme; mais, en analysant de plus près ces faits rares, il me semble que ce n'était jamais la personne de la femme, mais seulement sa toilette qui produisait cet effet. Je m'amourachais de ses vêtements et l'idée d'en pouvoir porter de pareils m'était agréable. Ainsi, je n'eus jamais d'excitation sexuelle, même au bordel, mes amis m'entraînaient quelquefois; je restais indifférent malgré l'étalage de toutes sortes de charmes imaginables et même devant de véritables beautés. Mais mon coeur était capable de sentiments amicaux pour le sexe féminin. Souvent je me figurais que j'étais déguisé en femme, que je vivais inconnu parmi elles, que j'avais des relations avec elles, et que j'étais très heureux ainsi. C'étaient les jeunes filles dont le buste n'était pas encore trop développé et surtout celles qui portaient les cheveux courts, qui étaient plutôt capables de me faire quelque impression, parce qu'elles se rapprochaient le plus de ma manière de voir. Une fois j'eus la chance de trouver une fille qui se sentait malheureuse d'appartenir au sexe féminin. Nous conclûmes un pacte d'amitié solide et nous nous réjouissions souvent

Mot du Jour

sainte-rose

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