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Mis à jour: 1 juin 2025
Bien résolu de ne pas rendre ma course Inutile dans ce royaume, et d'y poursuivre au moins les recherches que j'avais projetées, je louai des mulets
«Je louai une chambre au bord de l'Adour, sur la promenade des Baignots. Une brave femme venait faire mon ménage. Elle faisait également celui d'un vieux monsieur, juge d'instruction en retraite et président de la Société Roger-Ducos, vague magma scientifique, où des savants d'arrondissement s'appliquaient, avec une prodigieuse incompétence,
Je louai donc in petto sir Henry Clifton pour sa réserve et pour sa manière silencieuse de boire. Sir Henry Clifton était vraiment dans un état plus prononcé que le «gris d'officier»; il possédait la couleur complémentaire, et je vis que le chapitre approchait des expansions sentimentales.
Il me donna raison. Mais les bons moments étaient passés. La chance propice ne me suivit pas dans la misérable maison garnie où je louai une chambre. Je n'avais pas les relations de mon amie avec quantité d'entrepreneurs, et je ne possédais pas une machine
A Philippeville, où je passai la journée du 12, je me présentai chez le commandant supérieur, M. Cartier, major du deuxième régiment de la Légion étrangère, et je fis la connaissance du commandant Vaillant, frère de nos deux généraux de ce nom, et savant naturaliste. Une distance de vingt-deux lieues que parcourt une excellente route, exploitée quotidiennement, comme en Europe, par un service de messageries, sépare Philippeville de Constantine. Toutes les places ayant été retenues, je louai une voiture et je partis le lendemain de grand matin, avec l'excellent capitaine Gautier qui avait voulu m'accompagner. Nous traversâmes les nouveaux villages de Saint-Antoine et Gastonville, ce dernier peuplé de pauvres prolétaires parisiens qui sont venus chercher un meilleur sort dans la colonisation, tache difficile pour laquelle, malgré leur courage, ils n'ont ni la force, ni l'aptitude nécessaires. Au camp d'El-Arrouch, je fus retenu
Il me fit immédiatement un billet, et prit un croquis de mon nez. Je louai un appartement dans Jermyn street, et j'adressai
Et cependant Marcolet n'est pas un méchant homme. Voyant ma situation, il me proposa, moyennant une somme de [note du transcripteur: texte manque] par an, d'entreprendre certaines études de chimie industrielle qu'il m'indiqua. J'acceptai. Dès le lendemain, je louai, rue des Tournelles, un rez-de-chaussée où j'installai mon laboratoire, et je me mis
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