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Mis à jour: 27 juin 2025
Le petit paquet contenait deux phonogrammes, l'un portant l'estampille Philox Lorris et l'autre le cachet du ministère de la Guerre. Aussitôt portés au phonographe, voici ce que dirent les clichés: Premier phonogramme: «Artillerie chimique de ton corps d'armée mobilisée pour manoeuvres; envoie ordre appel reçu pour toi... Désolé du dérangement apporté
J'aime mieux ça! fit Arsène des Marettes en souriant. Vous savez, reprit Philox Lorris, combien nous gémissions tous de l'usure corporelle si rapide en notre siècle haletant? Plus de jambes! Hélas! Plus de muscles! Hélas! Plus d'estomac! Trois fois hélas! C'est bien mon cas! Le cerveau seul fonctionne passablement encore. Parbleu! Quel âge me donnez-vous? demanda piteusement Arsène des Marettes.
Hypnotisé par l'éclat de ce mot magique, notre La Héronnière se jeta dans l'engrenage; corps, âme et pensée, tout en lui fut aux affaires. Attaché au laboratoire de Philox Lorris, il devint bientôt, de collaborateur de ses hautes recherches, associé
A Paris, dans une somptueuse demeure du XLIIe arrondissement, sur les hauteurs de Sannois, un père était en train de sermonner véhémentement son fils lorsque éclata la tournade. Ce père n'était rien moins que le fameux Philoxène Lorris, le grand inventeur, l'illustre et universel savant, le plus gros bonnet de tous les gros bonnets des industries scientifiques.
Malgré les hauts cris de Mme Lacombe, Philox Lorris tint bon et fit accepter son programme sans y apporter aucune modification. Il sut fournir la maison de tous les perfectionnements que la mécanique a de nos jours apportés dans la vie habituelle, perfectionnements qui permettent de se passer des bonnes, des domestiques et du nombreux personnel que nos aïeux devaient entretenir autour d'eux.
Ne voyant presque plus Estelle, M. Philox Lorris en était arrivé
Il nous suffit de jeter indiscrètement les yeux sur le carnet d'une reporteuse du grand journal téléphonique l'Epoque, que nous rencontrons dès l'entrée, pour avoir les noms des principaux personnages que nous aurons l'honneur de croiser dans les salons de M. Philox Lorris.
Quoi donc? dit Georges Lorris intrigué. A trois générations seulement en arrière... une mauvaise note, un vice, une tare... Une tare? Oui, son arrière-grand-père, c'est-
M. Philox Lorris se préparait
Mme Lacombe, qui suivait les travaux d'installation avec un intérêt que l'on comprend, pendant que sa fille était occupée au grand laboratoire Philox Lorris, ne ménageait ni son admiration lorsqu'elle la croyait légitimement méritée, ni ses critiques quand il y avait lieu. Mais il ne lui était pas très facile de faire part de ses observations au père de son futur gendre.
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