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Mis à jour: 6 octobre 2025


Comme j'allais me retirer, j'aperçus auprès d'eux deux petits livres dont l'un était entr'ouvert (c'étaient des Pensées chrétiennes): «Il paraît; leur dis-je, que vous vous livrez

Louise s'arrêta, comme entraînée dans un rêve. Eh bien! chère mère, lui dit en riant Théodore, il me semble que vous faites justement ce que vous me reprochez: vous vous livrez

Judas crie: «Bien le tenez, Car il est merveilles forz homAinsi emmenerent Jhesum; Partie font de leur voloir, Qu'il ont Jhesu en leur pooir. Or sunt li deciple esgaré Et sunt de cuer mout adolé. Leenz eut un veissel mout gent, Criz feisoit son sacrement; Uns Juis le veissel trouva Chiés Symon, se l' prist et garda, Car Jhesus fu d'ilec menez Et devant Pilate livrez.

Naturellement vous ne livrez pas le vôtre, «qui ne vaut pas le sien»; on agit, et la rupture est accomplie, sans que nulle part votre main soit visible: ce que vous devez désirer... en vue de l'avenir. Le baron se retira en pensant que la marquise n'était vraiment pas sotte. Mais quelle femme corrompue, bon Dieu!

«Qu'est-ce que tout cela? dit M. Jaggers, vous avez un vieux père et vous vous livrez

Je ne vous ai parlé que des peines qui menacent le sentiment auquel vous vous livrez; je ne me suis pas permis de craindre pour vous le plus grand des malheurs, le remords. Ah! vous avez fait une cruelle expérience de la douleur, et cependant vous ne connoissez pas encore tout ce que le coeur peut souffrir; vous l'apprendriez, si vous aviez manqué

Gardez-vous-en bien, monsieur, dit vivement Adrienne, la liberté est une trop bonne chose pour la sacrifier volontairement... D'ailleurs, Georgette peut se tromper... mais en tout cas, je vous en prie, ne vous livrez pas... Croyez-moi, évitez d'être arrêté... cela facilitera, je pense, beaucoup mes démarches... car il me semble que la justice se montre d'un attachement exagéré pour ceux qu'elle a une fois saisis...

Le juge, étonné des impressions qu'il éprouvoit, mit sa main sur ses yeux pour ne pas voir Delphine, et retrouvant alors dans le fond de son âme la crainte que l'émotion combattoit, il fit un dernier effort pour étouffer son attendrissement, et refusa nettement ce que madame d'Albémar se croyoit près d'obtenir. A ces mots, elle tomba sur une chaise, presque sans vie, comme frappée d'un coup mortel et inattendu. Dans ce moment une femme ouvrit la porte, et Delphine la reconnut pour celle dont le portrait l'avoit frappée: cette femme, voyant que son mari n'étoit pas seul, voulut se retirer; Delphine, inspirée par son désespoir, s'avança vers elle et la conjura d'entrer. Je venois, répondit-elle, prier mon mari de monter pour voir le médecin, qui est très-inquiet de notre fils. Votre fils, s'écria Delphine, votre fils! Oui, madame, répondit la femme, je n'ai que cet enfant, et il est bien malade. Votre enfant est malade! répéta Delphine; eh bien! dit-elle en se retournant vers le juge, avec un regard solennel, si vous livrez Léonce au tribunal, votre enfant, cet objet de toute votre tendresse, il mourra! il mourra! Le juge et sa femme reculèrent, effrayés de cette voix et de cet accent prophétique. Oui, reprit-elle, vous ne savez pas combien est infaillible la punition du ciel, quand on s'est refusé

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