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Mis à jour: 26 mai 2025
Chut!» fit Kobus. Le vieux lied recommençait en s'éloignant, et la même voix s'élevait toujours plus haute, plus touchante que les autres;
Il alla se coucher. Ainsi, ce bon vivant, ce gros gourmand, ce fin gourmet de Kobus se nourrissait alors d'une tranche de jambon le matin, et d'un vieux lied le soir; il était bien changé! Dieu sait
Dimanche 26 décembre. Ce soir, au milieu d'un lied chanté par la sœur de Berendsen, le traducteur danois de REN
Hâan et Kobus avaient entendu cent fois le vieux lied; mais alors, il leur sembla si beau, si bien en rapport avec l'heure silencieuse, qu'ils l'écoutèrent dans une sorte de ravissement poétique.
Le Maus et le Katz, le Chat et la Souris, ces sombres repaires des burgraves, maintenant enguirlandés de pampres verts, ont perdu leur aspect farouche. La Loreley fait «du petit vin blanc», et si la Sirène enivre encore les matelots, ce n'est plus avec les chants de sa harpe, mais avec le jus de la treille. Hugo ne composerait plus ici ses Burgraves et Heine n'y écrirait plus son Lied.
Elle vit son trouble profond, et, pour l'apaiser, elle mit sa main sur la bouche du jeune homme, et lui montra le batelier qui frappait le lac en cadence et chantait un lied amoureux. Il leur tournait le dos; mais il n'avait qu'un mouvement
La seconde partie (Lettre C), d'un mouvement plus animé «Soyez patients mes bien aimés» contraste vivement avec la précédente; toutes deux forment une antithèse très marquée de la félicité et de la douleur. C'est un frais lied, dans le style d'un Noël plein de naïveté, comme Brahms en a laissé si souvent et si heureusement échapper de sa plume. Voil
Mais le jour va paraître et toute la théorie légère s'écrie: «Ah!... voyez..... C'est le jour nouveau». Les trompettes sonnent. Quelle aube éblouissante! Quel cri strident est celui d'Ariel annonçant le réveil de la nature! L'orchestre, avec ses trémolos, introduits avec une certaine discrétion dans les œuvres de Schumann, et l'appel des trompettes, s'épanouit avec une ampleur magistrale. Puis, dans une phrase courte, qui a toute la grâce d'un lied printanier, Ariel engage les Sylphes
Ninon, poésie d'A. de Musset pour ténor et soprano, dédiée au Dr F. Féréol.....RICHAULT. Passez, passez toujours, poésie de V. Hugo.....RICHAULT. L'émir de Bengador, poésie de Méry.....RICHAULT. Cloches du soir, poésie de Desbordes-Valmore.....BRUNEAU. Roses et papillons, mélodie.....ENOCH et COSTALLAT. Lied, mélodie.....ENOCH et COSTALLAT.
Après avoir effleuré, comme pour essayer les octaves, les touches d'ébène et d'ivoire, elle s'arrêta un instant, posa sa tête dans sa main, comme pour recueillir ses souvenirs ou sa pensée; puis, frappant deux ou trois accords, elle chanta, mais si doucement, et avec quel charme profond! ce lied populaire: Perdus tous deux dans la steppe infinie!
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