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Mis à jour: 4 juin 2025


J'ai malheureusement deux libertins

Dans le grand manifeste romantique qu'est la préface de Cromwell, la chose fut sanctionnée comme faisant partie du fameux grotesque: Les naïades charnues, les robustes tritons, les zéphyres libertins ont-ils la fluidité diaphane de nos ondins et de nos sylphides? N'est-ce pas parce que l'imagination moderne sait faire rôder hideusement dans nos cimetières les vampires, les ogres, les aulnes, les psylles, les goules, les brucolaques, les aspioles, qu'elle peut donner

Pourquoi donc suis-je ainsi? [n'est-ce pas une vieille maxime parmi les libertins, que toutes les femmes se ressemblent?] Pourquoi donc y a-t-il si peu d'amours qui se ressemblent? En vérité, je ne saurais aimer cette femme comme toi, Octave, tu l'aimerais, ou comme j'en aimerais une autre. Qu'est-ce donc pourtant que tout cela? deux yeux bleus, deux lèvres vermeilles, une robe blanche et deux blanches mains. Pourquoi ce qui te rendrait joyeux et empressé, ce qui t'attirerait, toi, comme l'aiguille aimantée attire le fer, me rend-il triste et immobile? Qui pourrait dire: ceci est gai ou triste? La réalité n'est qu'une ombre. Appelle imagination ou folie ce qui la divinise. Alors la folie est la beauté elle-même. Chaque homme marche enveloppé d'un réseau transparent qui le couvre de la tête aux pieds; il croit voir des bois et des fleuves, des visages divins, et l'universelle nature se teint sous ses regards des nuances infinies du tissu magique. Octave! Octave! viens

Ce sont messieurs les libertins, Gens

Presque partout nous citons Somaize: c'est que tout notre monde a vécu de la vie précieuse, c'est que tous ces libertins et toutes ces femmes légères ont filé dans les ruelles le parfait amour avant de passer si chaleureusement

Ma foi, Monsieur, j'ai toujours ouï dire que c'est une méchante raillerie que de se railler du ciel, et que les libertins ne font jamais une bonne fin. Don Juan Hol

HENRI. Arrière les sophismes de ces libertins sans coeur qui s'arrogent l'impunité parce qu'ils savent braver la mort! Moi, je sens qu'on peut la bénir quand on se sent digne de retrouver au del

les couleurs, mais surtout les nuances: les tristes, ces fleurs décolorées par l'excès des soleils; les joyeuses, ardeurs dont la gamme s'irise; les blancs trempés un peu de chair ou de vermeil, les outre-mer, ces rêves, et les glauques divins dont on faisait les yeux moqueurs des immortels. Oh! les piquants bitumes sous des yeux libertins! oh! les piquants cinabres sur des joues de déesses!

Les catéchismes qui enseignent ces pratiques sont remplis de hautes théories morales et même d'ascétisme, mais en réalité, les membres de ces réunions ne sont que des libertins hypocrites. On prétend que beaucoup de brahmes en font secrètement partie bien que publiquement ils affectent de les blâmer, parce que toutes ces pratiques sont contraires aux règles sur les castes et les souillures.

Avec une aimable érudition, Mme Arvède Barine (alias Mme Vincens), une favorite de l'Académie française, a raconté les jeunes amours de Louis XIV, son adolescence, ses fêtes galantes, son inclination première vers les libertins. Mais ce qui domine dans le livre de Mme Arvède Barine, c'est la Grande Mademoiselle. Dans un précédent volume, elle nous l'avait dépeinte au milieu de la Fronde, héroïque, batailleuse. Ici, c'est une autre Mademoiselle qui apparaît. La Fronde a éteint ses derniers feux; nous sommes en 1692. Mlle de Montpensier est reléguée dans le château de Saint-Fargeau, elle s'ennuie, ne cherchant qu'un prétexte pour faire sa paix avec Mazarin, auquel elle finit par se soumettre. Elle se débat avec son père, Gaston d'Orléans, et avec sa belle-mère, qui voudraient lui enlever de son bien pour le faire passer

Mot du Jour

l'égaierait

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