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Mis à jour: 7 mai 2025
Elle côtoyait, entre ses deux gardiens silencieux, des maisons de faubourg. Les rares passants qui la croisaient ne levaient pas même la tête. Il y avait une telle habitude
Arnica n'entendait rien aux affaires publiques et, de ce que lui avait raconté Mme de Saint-Prix, ne se faisait qu'une représentation confuse. Les mots captivité, emprisonnement levaient devant ses yeux des images ténébreuses et semi-romantiques; le mot croisade l'exaltait infiniment, et lorsque, enfin ébranlé, Amédée parla de partir, elle le vit soudain en cuirasse et en heaume,
Les sabres se levaient et retombaient. Toute la troupe fut obligée de reculer, d'au moins deux cents pas, sans cesser de lutter furieusement, et alors elle se mêla
Les orgues, alors, clamèrent d'allégresse, derrière l'abbé Cornille, qui se retirait avec les clercs. Monseigneur, immobile en sa majesté, abaissait sur le couple ses yeux d'aigle, très doux. À genoux toujours, les Hubert levaient la tête, aveuglés de larmes heureuses. Et la phrase énorme des orgues roula, se perdit en une grêle de petites notes aiguës, pleuvant sous les voûtes, pareilles
Tout le wagon dit avec elle le premier chapelet, les cinq mystères joyeux, l'Annonciation, la Visitation, la Nativité, la Purification et Jésus retrouvé. Puis, on entonna le cantique: «Contemplons le céleste archange...», d'une voix si haute, que les paysans, dans les cultures, levaient la tête, regardaient passer ce train qui chantait.
Les deux frères se levaient
Des formes indécises traversèrent brusquement le chemin, et de grandes chauves-souris, s'élançant des crevasses, tournoyaient autour de nos têtes. Parfois deux étincelles ardentes luisaient dans un noir fourré, et des épaisseurs des broussailles se levaient de vagues frémissements.
Moi, j'ai été les voir, une fois. Je suis arrivé au bout de la rue Saint-Pierre comme une colonne de ces malheureux passait sur l'avenue de Paris, entre deux files de cavaliers. Des hommes en uniformes de gardes nationaux, en habits civils, en haillons, blessés, éclopés, portant au front la colère de la défaite et le désespoir de la cause perdue, s'avançaient farouches, la tête haute, avec la vision de la mort. La foule les huait. Des bourgeois, la face éclairée par la satisfaction immonde de la vengeance basse, levaient sur eux leurs cannes, passaient entre les chevaux des soldats pour cracher au visage des vaincus. Derrière, venaient des femmes, toutes têtes nues; des femmes du peuple, portant la jupe d'indienne, le tablier bleu, d'autres habillées de riches costumes. On leur avait enlevé leurs ombrelles,
Au bout de quelques jours, ils se réconciliaient, comme ils s'étaient fâchés, sans raison apparente... Et c'étaient des sanglots, des «oh!... méchant!... oh! méchante!»... des: «c'est fini... puisque je te dis que c'est fini»... Ils s'en allaient faire une petite fête au restaurant, et, le lendemain, se levaient très tard, fatigués d'amour...
Autour de Chaval, la foule devenait menaçante, des poings se levaient, des cris: A mort!
Mot du Jour
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