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Mis à jour: 2 octobre 2025
Elle s'en alla, avec l'intention de trouver son dessert chez la Sarriette et chez madame Lecoeur, en leur parlant de Gavard.
Madame Lecoeur, du coup, ne continua pas. Elle laissa la maniotte et le raucourt. Elle ne s'essuya pas même les bras. D'une légère tape, elle ramena de nouveau son bonnet, marchant sur les talons de sa nièce, remontant l'escalier, en répétant avec inquiétude:
Et madame Lecoeur lâcha une obscénité, qui les amusa.
Il avoua en lui-même que la vengeance de Catherine était prompte et sûre, car la vertu de mademoiselle Lecoeur, fortifiée par l'âge, était devenue si vigoureuse qu'elle s'attaquait
Lecoeur, Esquisses du Bocage normand, II, 299, 301, 318, 321. A. de Nore, Légendes, etc., des provinces de France, 237. Revue des traditions populaires, VIII, 176; IX, 219. C. de Mensignac, Sup. de la Gironde, 133. Communication de M. A. Harou. Revue des traditions populaires, VIII, 176, 239. Léon Pineau, Folk-Lore du Poitou, 287. Reinsberg-Düringsfeld, Traditions de la Belgique, II, 57.
Il mit devant elle un énorme paquet de papiers, dans une chemise bleue. Elle feuilleta les pièces. C'était comme les chapitres détachés de l'histoire qu'elle venait de conter. Les commissaires de police du Havre, de Rouen, de Vernon, annonçaient l'arrivée de Florent. Ensuite, venait un rapport qui constatait son installation chez les Quenu-Gradelle. Puis, son entrée aux Halles, sa vie, ses soirées chez monsieur Lebigre, pas un détail n'était passé. Lisa, abasourdie, remarqua que les rapports étaient doubles, qu'ils avaient dû avoir deux sources différentes. Enfin, elle trouva un tas de lettres, des lettres anonymes de tous les formats et de toutes les écritures. Ce fut le comble. Elle reconnut une écriture de chat, l'écriture de mademoiselle Saget, dénonçant la société du cabinet vitré. Elle reconnut une grande feuille de papier graisseuse, toute tachée des gros bâtons de madame Lecoeur, et une page glacée, ornée d'une pensée jaune, couverte du griffonnage de la Sarriette et de monsieur Jules; les deux lettres avertissaient le gouvernement de prendre garde
Le marchand de volailles, pour toute famille, n'avait plus qu'une belle-soeur et une nièce. Quand sa femme mourut, la soeur aînée de celle-ci, madame Lecoeur, qui était veuve depuis un an, la pleura d'une façon exagérée, en allant presque chaque soir porter ses consolations au malheureux mari. Elle dut nourrir,
Mais Catherine elle-même ne savait pas combien sa vengeance était complète. Elle avait vu venir sur la place mademoiselle Lecoeur. Elle n'avait pas vu mon père qui suivait de près.
Cependant, la Sarriette et madame Lecoeur étaient accourues. Quand elles eurent demandé une explication, la marchande de beurre se mit
COUVREURS N. Quellien, L'Argot des nomades en Bretagne. E. Lecoeur, Esquisses du Bocage, II, 344. Grimm, Veillées allemandes, I, 309. Communication de M. le Dr A. Corre. A. Perdiguier, Le Livre du Compagnonnage, I, 60. Revue des traditions populaires, X, 96. Pluquet, Contes de Bayeux, 25. Amélie Bosquet, La Normandie romanesque, 477.
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