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Mis à jour: 30 avril 2025
Comment! s'écria le marquis; un drôle dont le père a labouré mes champs et dont j'ai vu la mère apporter ici, chaque matin, pendant dix ans, le lait de ses vaches, viendra m'insulter chez moi, et je n'y pourrai rien! Non-seulement je ne le ferai pas jeter
Ce n'était plus le même homme; son aspect vous eût fait peur: il avait le teint terreux des malades, il avait ce regard tout noir du taureau furieux qui laboure la terre avec ses cornes. Le bouffon grotesque des bas-fonds parisiens tournait au tragique; la fièvre d'argent le tenait, et la fièvre de sang.
Aussi le vent froid n'a pu chasser mon voisin de son balcon. Il laboure le terrain de ses caisses vertes; il y sème, avec soin, les graines de capucine écarlate, de volubilis et de pois de senteur.
LE BOUFFON. Vous n'y êtes pas, madame, ce sont de grands amis; car les fripons viennent faire pour moi ce que je suis las de faire. Celui qui laboure ma terre épargne mon attelage et me laisse en recueillir la moisson: si je suis déshonoré, il est mon valet: celui qui réjouit ma femme est le bienfaiteur de ma chair et de mon sang; celui qui fait du bien
S'il rencontre quelqu'un, il montre son dos avec affection et oublie un moment sa charge. Mais il est las, surtout quand on ne tue rien et que la vanité cesse de le soutenir. Attends-moi ici, dit parfois M. Lepic. Je vais battre ce labouré.
AARON, prenant l'enfant et tirant son épée. Ce fer t'aurait plus vite encore labouré les entrailles. Arrêtez, lâches meurtriers! Voulez-vous tuer votre frère? Par les flambeaux du firmament, qui brillaient avec tant d'éclat lorsque cet enfant fut engendré, il meurt de la pointe affilée de mon cimeterre, celui qui ose toucher
Et il a labouré la terre comme un pourceau avec son groin, ajoutait un autre. J'ai heureusement sauté de côté
A cent pas de la barrière, le postillon fut renversé de son siège, et la voiture lui passa sur le corps; les chevaux, ne se sentant plus retenus ni dirigés, redoublèrent de vitesse et s'élancèrent vers un fossé très profond, qui séparait la route d'un champ labouré.
Les sens usés au service d'une intelligence immortelle, qui tombent comme l'écorce vermoulue de l'arbre, pour laisser cette intelligence, dégagée de la matière, prendre plus librement les larges proportions de son immatérialité; les cheveux blancs, ce symbole d'hiver après tant d'étés traversés sans regret sous les cheveux bruns; les rides, sillons des années, pleines de mystères, de souvenirs, d'expérience, sentiers creusés sur le front par les innombrables impressions qui ont labouré le visage humain; le front élargi qui contient en science tout ce que les fronts plus jeunes contiennent en illusions; les tempes creusées par la tension forte de l'organe de la pensée sous les doigts du temps; les yeux caves, les paupières lourdes qui se referment sur un monde de souvenirs; les lèvres plissées par la longue habitude de dédaigner ce qui passionne le monde, ou de plaindre avec indulgence ce qui le trompe; le rire
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